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5.10.06

Ne perdons pas le Nord ! Le Nord de notre planète et le nôtre ! 

Le climat se dérègle à cause de la perversion d'un pouvoir capitaliste devenu totalement myope et savant fou depuis la fin de l'URSS. Au pôle Nord, la banquise fond. En France, le mois de juillet 2006 n'a jamais été aussi chaud que depuis 1950 ou 2003, tandis que pour retrouver un mois d'août aussi froid que cette année, il faut remonter à août 1986 (http://www.meteofrance.com/FR/actus/dossier/article.jsp?docid=26550 ).

Les cancers du cerveau se multiplient. L'homme pressé moderne devient-il littéralement fou à force de communiquer de plus en plus inutilement et aveuglément ? Les Américains et leurs expériences au pôle comme HAAARP dérèglent-ils et le climat et nos conciences comme certains le croeint. Ou, faut-il voir la cause des modifications climatiques dans le fait que "l'énergie de l'irradiation des ondes radio et des micro-ondes entre en résonance avec les lignes de transport d'énergie électrique en 50 ou 60 hertz (THT ou autres), un phénomène amplifié dans la magnétosphère. Ceci est fortement suspecté de jouer un rôle dans les récents changements climatiques" ?

http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=69703

En tout cas, pour ne plus subir l'état de perdition labyrinthique que provoquent les technologies modernes, faut-il couper les téléphones ou du moins renouer avec ses téléphones et connexions internet filaires ? Les pollutions magnétiques sont chez nous et à nos portes! Il semblerait qu'il faille fuir les appareils sans fil qui nous entourent, mais aussi les rasoirs électriques et les sèches cheveux.

Quelques pistes de recherche.

Si, comme moi, vous avez connu barre de front et vertiges après avoir trop utilisé un téléphone sans fil à domicile, et que vous considérez les informations de l'OMS comme insuffisantes et dénuées de valeurs mesurées à ce sujet, contrairement à d'autres appareils ménagers comme, justement, les rasoirs et les sèches cheveux, émettant à proximité, à bien plus que "la valeur limite de 100 μT recommandée pour la population générale", la suite vous intéressera (http://www.who.int/peh-emf/about/WhatisEMF/fr/index3.html : "Téléphones sans fil

L'intensité du courant nécessaire au fonctionnement des téléphones sans fil est beaucoup plus faible que dans le cas des téléphones portables, car on les utilise très près de leur base, de sorte que le champ électromagnétique intense qu'exige une transmission à grande distance n'a pas de raison d'être. Dans ces conditions, le champ de radiofréquence produit par ces appareil est négligeable".).

Il semble y avoir débat scientifique quant à la saine limite d'exposition aux champs électriques (5000V/m pour l'OMS, 41V pour le conseil européen, ou moins pour d'autres) et magnétiques (100μT pour l'OMS, 0,3 pour d'autres).

Et tous les témoignages concernant des sentiments de nocivité liés aux téléphones sans fil, systèmes Wifi et bluetooth peuvent provenir d'autres raisons. Mais ils s'accumulent

(lisez http://wifi.blog4ever.com/blog/lirarticle-18457-53198.html , http://www.biodyne.org/wifi.php ).

Et on se souvient de notre père atteint d'un cancer du cerveau en 1999 qui utilisait fréquemment une radio portable incorporée dans un casque posé sur sa tête. Or une radio portable émet le maximum du champ électrique parmi les appareils électriques (180V/m à 30 cm pour un récepteur stéréo selon l'OMS), et le champ magnétique suivant :

À 3 cm ( μT) À 30 cm ( μT) À 1 m ( μT)

16-56 1 <>

Le docteur cancérologue que l'on interrogeait sur un lien éventuel n'osait pas se prononcer!

Espérons que le cours des choses s'infléchira ! Il y va de nombreuses vies !

Silence de mort = suicide collectif !

Il n'y a guère que les revues spécialisées ou le net qui tendent à ne pas endormir notre vigilance. Celle-ci, telle une aiguille fixée vers le pôle Nord, s'était arrêtée sur la note de bas de page d'un article du député européen écologiste Paul Lannoye, paru dans Alternative Santé d'octobre 2006. On y apprenait l'existence d'une expérience du suédois Hardell sur l'effet cancérigène des téléphones cellulaires, mais aussi des sans fil (cordless) à domicile. Si les cellulaires ou les portables provoquaient le plus de troubles, l'utilisation des sans fil spécifiquement du côté d'une tumeur du cerveau n'arrangeait pas le cas des patients, au contraire. En revanche, dans une étude postérieure, il semblerait que tous ces téléphones n'auraient pas d'influence sur les cancers des glandes salivaires.

Mr. Lannoye ne précisait pas le contenu de cette étude, mais soulignait ceci (citation plus longue extraite de http://www.paullannoye.be/th_pollution_electro.php#poll_electro ) :

" Mais il se fait que, outre les effets thermiques, les rayonnements non ionisants provoquent aussi des effets dits athermiques, liés au caractère vivant de l'organisme récepteur.

Ces effets sont aléatoires, en ce sens qu'ils se manifestent de manière spécifique selon la personne touchée et même, lorsqu'ils affectent une même personne, selon l'état physiologique du moment. L'intensité du rayonnement reçu reste à cet égard un paramètre important mais la fréquence de ce rayonnement, la structure de l'onde reçue (modulée, pulsée ou non) et l'état de l'organisme vivant récepteur peuvent être tout aussi essentiels.

L'être humain, comme tout organisme vivant, est un émetteur-récepteur d'ondes électromagnétiques; de nombreux mécanismes biologiques mettent en œuvre un rayonnement électromagnétique caractérisé par une fréquence ou une plage de fréquences bien déterminée. Il n'est donc pas surprenant qu'un rayonnement exogène de fréquence identique perturbe, par effet de similitude oscillatoire, comme le souligne G. Hyland2, le fonctionnement de ces mécanismes; et cela à des niveaux d'intensité nettement plus faibles que ceux qui déterminent l'apparition d'effets thermiques:

1. dans la gamme des micro-ondes (ou hyperfréquences), des processus aussi fondamentaux que la division cellulaire et la communication intercellulaire font appel à des ondes de très faible intensité.

2. dans la gamme des très basses fréquences (ELF), on trouve l'activité cérébrale (émissions dans la gamme 0-30 Hz) et le fonctionnement du système nerveux.

Il est à remarquer que le système GSM met en œuvre les fréquences de 2 Hz et de 8,3 Hz pour la pulsation du rayonnement alors que l'onde porteuse a une fréquence de 900 MHz.

De nombreuses études effectuées in vitro et in vivo ont mis en évidence les effets non thermiques des rayonnements de micro-ondes, et notamment des rayonnements pulsés dus aux GSM et aux antennes-relais. Nous nous limiterons à citer ceux qui nous paraissent les plus significatifs :

* In vitro: altération de l'activité de l'enzyme ornithine décarboxylase (ODC);

* effets sur l'électrochimie du cerveau (flux de calcium);

* accroissement des aberrations chromosomiques et des micronoyaux dans les lymphocytes du sang humain.

* In vivo: perméabilité accrue de la barrière hémato-encéphalique chez le rat;

* effets sur le fonctionnement du système dopamine-opiate du cerveau;

* accroissement du taux de rupture de l'ADN et des aberrations chromosomiques dans le cerveau du rat.

Certes, ces différents effets biologiques n'impliquent pas nécessairement des dommages à la santé humaine mais les connaissances du fonctionnement de l'organisme humain et l'observation clinique effectuée sur de nombreux utilisateurs de GSM ou riverains d'antennes-relais permettent de penser à une corrélation plausible des troubles de santé constatés avec de tels effets, les personnes les plus sensibles étant particulièrement vulnérables.

Des études menées in situ sur les riverains d'antennes-relais notamment en France, en Espagne et en Autriche font toutes état, chez les sujets exposés, de difficultés de concentration, troubles de la mémoire, vertiges, maux de tête, tendances dépressives, perturbations du sommeil, problèmes cutanés, fatigue chronique.

(…)

J'ajoute que, comme le préconise G. Hyland, il s'imposerait d'éviter de mettre sur le marché des technologies qui exposent le public à des ondes dont les fréquences sont proches des ondes cérébrales ou de celles qui caractérisent certains mécanismes vitaux du corps humain. C'est malencontreusement le cas du système GSM adopté en Europe...

(…)

en outre, la mise en évidence de l'accroissement de la perméabilité de la barrière sang-cerveau est en elle-même suffisamment préoccupante : elle signifie en effet une plus grande vulnérabilité à une pollution chimique, les polluants pouvant se retrouver dans le cerveau alors qu'en temps normal ils n'y ont pas accès.

(…)

A moins d'attribuer à certains animaux des compétences en physique et en chimie des rayonnements au point que la peur des micro-ondes perturbe leur comportement, il faut bien reconnaître que les données s'accumulent quant aux effets mesurables d'une exposition aux rayonnements de micro-ondes pulsées d'antennes-relais sur certaines populations animales (vaches allaitantes, poulets, pigeons voyageurs, cigognes,?). La récente étude sur une population de cigognes blanches en Espagne est particulièrement éclairante3. Elle montre en effet, sans conteste, une perte de fécondité très nette et statistiquement significative (réduite de moitié) chez les cigognes dont les nids étaient les plus exposés (moins de 200 mètres des antennes) par rapport à ceux situés au-delà de 300 mètres. "

Mr. Lannoye est membre du Criirem, un groupement de chercheurs qui signae l'opacité régnant encore sur les caractéristiques des téléphones DECT, véritablement "similaires à des téléphones mobiles de maison" (et qui sait peut-être pires puisque utilisés sans oreillettes, plus longtemps que les portables, et vendus sans précision sur le DAS, ou SAR en anglais, contrairement aux portables, comme on peut le constater par comparaison des pages du site Siemens.com, avec la fiche technique en français ou en anglais d'un Gigaset DECT numérique - il existe des Gigaset analogiques - d'avec celle d'un portable A65, où le DAS est mesuré http://www.benq-siemens.com/cds/frontdoor/0,2241,hq_en_0_130510_0_view%253Atechdata_spec%253A0_ab%253A0_clr%253A0_clrNum%253A1,00.html !) (http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=46693&id_mot=21 , jeudi 17 novembre 2005 à 11h14):

"Exprimé en Watt par kilogramme (W/kg), le Débit d'Absorption Spécifique (abrégé en DAS, ou aussi SAR en anglais) est l'unité retenue et reconnue par les opérateurs de téléphonie mobile et les autorités sanitaires. Il traduit la « quantité maximale de puissance qui peut être absorbée par les tissus » et correspond à ce que l'on appelle l'effet thermique. Un effet d'échauffement très rapide, en quelques minutes, provoqué par l'énergie que dégage le terminal et dont les réglementations française et européenne fixent la valeur plafond à 2 W/kg.

De fait, le (riirem regrette que les constructeurs ne fournissent pas la même information en ce qui concerne les téléphones sans fil numérique d'intérieur, dits DECT. En effet, pour ces appareils similaires à des téléphones mobiles de maison, aucune valeur de DAS n'est mentionnée. Ni sur l'emballage, ni dans l'argumentaire technico-commercial mis en avant.

Dans l'attente de pouvoir établir un Top DAS DECT, le Top DAS des téléphones mobiles sera, lui, mis à jour au moins une fois par mois et consultable sur le site web du (riirem : www.criirem.org".

Précisons que le rapport parlementaire de 2002, tout comme la Criirem, ne mesurait le Débit d'Absorption Spécifique que pour un portable émettant à 900Mhz, soit 2 watts divisé sur un septième du temps, soit 1,1 W /kg de DAS (énergie par masse). Avec 1800 Mhz, soit 1,8 Ghz, il semble que cela fasse deux fois moins de puissance et de DAS. Il faut parcourir le rapport pour le comprendre.

"Avec un radiotéléphone modélisé sur un boîtier parallélépipédique, et

opérant à 900 MHz et avec une puissante crête de 2 watts, les simulations

indiquent un DAS de 1,1 Watt /kilogramme. L’analyse dosimétrique montre

également que la tête absorbe environ 50 % de la puissance émise par le

radiotéléphone, la peau absorbant 15 %, le muscle 10 %, le liquide céphalorachidien

5 % et le cerveau 13 %. Avec le modèle de radiotéléphone utilisé,

l’absorption est principalement localisée dans la zone proche de l’oreille :

30 % de l’énergie est absorbée dans un cube de 5 cm de côté centré sur

l’oreille interne. Au sein de ce volume restreint, la peau absorbe une part

importante : la peau appartenant au cube absorbe 70 % de la puissance

absorbée par l’ensemble de la peau. A la fréquence de 1 800 MHz, la

proportion de la puissance absorbée par les tissus périphériques est augmentée [NDWebmestre : car moins d'ondes pénètrent]".

Et globalement, le rapport, tout comme la Criirem, ne s'intéressent qu'à la puissance d'émission en watts http://www.senat.fr/rap/r02-052/r02-0521.pdf (RAPPORT sur L’INCIDENCE ÉVENTUELLE DE LA TÉLÉPHONIE MOBILE SUR LA SANTÉ, par MM. Jean-Louis LORRAIN et Daniel RAOUL, Sénateurs) :

"6. Les équipements de faible puissance EN50371

Certains équipements de téléphonie mobile, par exemple les

téléphones sans fil numériques DECT qui ont une portée limitée, utilisent des

puissances d’émission très faibles. En supposant que toute la puissance émise

est absorbée par 10 g de tissus du corps humain, tous les équipements qui

émettent moins de 20 mW ne peuvent pas dépasser la limite de DAS local de

2 W/kg. Les critères de mise en œuvre de cette règle simple de conformité aux

exigences essentielles sont définis par la norme générique EN50371, qui est

considérée comme une norme harmonisée (cf. JOCE C190/19 du 10/10/2002)".

Ceci donc pour les hautes féquences ou micro-ondes.

Or, ce n'est pas que nous aimons forcément les problèmes, car nous aimerions parfois lâcher prise, mais le problème est qu'il n'y aurait pas que les antennes relais qui envoient des ondes pulsées entre 2 et 8,3 HZ.

Certes, le rapport du sénat précise que la technologie UMTS (2 Ghz) ne fonctionne pas par ondes pulsées.

Mais pour es autres technologies, c'est différent. Un conseiller de l'industrie interrogé par le rapport, Mr. Trebbia, parle de 217Hz aux stations de base, et de 8 fois moins sur les portables, soit 27Hz, contrairement à une annexe du rapport due à Mr. Carballes, responsable chez Alcatel, qui nie l'envoi de telles basses fréquences de 217Hz depuis les antennes, et n'évoque qu'une émission de 217Hz (selon un cycle de 1/8) pour préciser que le danger cancérigène n'existe pas pour ce champ électro-magnétique selon l'OMS (OMS que l'on sait financé par des fonds de l'industrie). Si Mr. Trebbia se trompe, tout va bien. Si Mr. Carballes, en annexe a raison de dire que les champs magnétiques autour du portable ne sont pas mesurables en raison de leur faiblesse, tout va bien. On aimerait, dans ce cas, savoir, si les stations de base des téléphones sans fil ou d'autres appareils, envoient , elles, des ondes à 217 Hz, même si les ondes du cerveau émettent seulement entre 0,5 et 30 Hz (1 en état de coma, 3 et 4 pour le sommeil profond). Accessoirement, gare à la technologie radio TETRA qui émet à 17,6 Hz !

Nous avions bien constaté une certaine fatigue mentale (mais non physique) et un certain échauffement après avoir parlé avec un sans fil de domicile une bonne partie de la soirée (environ une heure et demi). Ce n'était, selon nous, nullement en rapport avec l'article que nous venions de lire. Puisque réveillé à 5 heures du matin par un téléphone débranché qui réclamait d'être rebranché, nous avions aussi eu du mal à retrouver le sommeil, chose qui nous avait surpris. Et, après un récent rhume, un mal de tête s'était manifeté de manière persistant, de type barre au front, chose que nous n'avions jamais ressenti depuis longtemps, mais qui peut aussi se manifester aléatoirement. Notre barrière hémato-encéphalique aurait-elle donc laissé passer plus facilement des polluants contenus dans le sang ? Au-delà, nous nous demandions aussi si une fatigue mentale générale pouvait provenir d'une cause technologique.

Internet, cette boussole des temps modernes, venait de nous mettre sur une voie éventuele. On apprend en effet que les sans fil fonctionnent comme les cellulaires : ils utilisent des hautes fréquences (jusqu'à 1,9 ou 2 Ghz, soit 3 ou 4 fois plus que les ondes de télévision) et enverraient des ondes pulsées proches des émissions cérébrales. Selon un observateur du dossier, la pulsation est un plus négatif, et l'important est la fréquence des ondes, pulsées ou pas.

En cherchant "téléphone digital" via http://fr.altavista.com, nous étions tombés sur les risques de ces sans fils, visiblement liés à cette nouvelle technologie dite DECT, et non au type d'appareil, Logicom (marque de piètre qualité selon un vendeur, et perturbant fortement et continuellement la radio d'une amie une fois installé) ou Siemens (une personne de notre connaissance utilisant cette marque et utilisant l'ordinateur près du téléphone, avait constaté un regain d'hypertension, alors même que cette personne fait beaucoup de marche, regain d'ailleurs passager si le test d'hypertension d'une voisine était fiable).

Or une étude sur les téléphones numériques énumère tous ces maux (de tête ou d'hypertension) parmi d'autres. On la devait à une revue allemande de 1998, Wohnung + Gesundheit (habitat et santé) traduite sur le site "Retrouver son Nord" (un titre heureux pour un site réalisé par un psychothérapeute partisan de l'auto-psychothérapie. On n'a donc pas affaire à un charlatan distributeur de pillules miracles. Ainsi, si on est confronté à une foule de problèmes de santé, l'idée est qu'il ne faut pas pour autant en faire une maladie. Parfois même, c'est le stress lié à la peur qui provoque certains maux. http://www.retrouversonnord.be/peurde.htm. Se vacciner contre tout peut être improductif voir contre-productif. D'ailleurs, le vaccin contre la grippe aviaire stocké en des quantités monumentales est apparu avant même l'arrivée du virus. http://www.retrouversonnord.be/peurde.htm#aviaire).

http://www.retrouversonnord.be/dect.htm :

"Permanence de rayonnements pulsés : DANGER !!!

Exemples de cas issus de la pratique : le Téléphone sans fil selon la norme DECT.

TEMOIGNAGE : "Enfin bon, ça fait trois nuits maintenant que je débranche tous les fils de mon Téléphone (avant d’acheter un Téléphone à cordon) dont la station de base se trouve juste en dessous de mon lit ... et je dors mieux ! Plus de réveils brusques en pleine nuit, les yeux grands ouverts !"

Merci à Jean-Claude FAVRESSE (traducteur de l'article qui suit de me l'avoir transmis, pour le mettre sur le site. En matière de santé, il faut garder à l'esprit que l'apparition de maladies est générée par des conflits psychiques non résolus. Toutefois, toutes les pollutions ne font qu'aggraver les somatisations et peuvent les rendre de ce fait insupportables, pire encore, conduire à la survenance d'autres conflits, eux-mêmes alors se somatisant. C'est ce qui explique l'apparition de "métastases" (voir la "Médecine Nouvelle" et tapez "métastases" dans le moteur de recherche). C'est ce qui fait que tous nous ne sommes pas égaux face à ces pollutions ; il y a donc un intérêt majeur à en supprimer la cause et à tout le moins à en diminuer les effets néfastes au cas où on ne peut pas intervenir sur leurs causes.

"Appelons « sans fil » tous ces Téléphones fonctionnant par émission d’ondes électromagnétiques à l’intérieur d’une habitation, dont la portée va de 50 à 200 m [et même 300 maintenant]. et dont la station de base, de petite dimension ( bien qu’elle assure aussi, en général, la charge des accus ), se trouve à l’intérieur de la maison, sur un bureau, ou même sur une table de nuit.

Tout dépend du système utilisé ! Description des trois standards.

Les appareils fonctionnant selon le système CT-1-Plus se trouvent depuis des années sur le marché international, ceux selon le système CT-2 sont venus des USA voici quelques années ( CT = Cordless Tél. ephone ), et ceux qui correspondent au système DECT ( Digital Enhanced Cordless Tél. e-communications ) se pressent actuellement sur les rayons des magasins spécialisés. Pratiquement tous les fabricants comme Bosch, Grundig, Hagenuk, Panasonic, Philips, Quelle, Samsung, Siemens, Sony, Tél. ekom... produisent des Téléphones sans fil selon ces trois standards.

Les appareils du type CT-1-Plus et leurs stations de base émettent des ondes relativement faibles sur un mode analogique non pulsé, et cela seulement lors du fonctionnement effectif du Téléphone. Il devrait toujours en être ainsi.

Ceux du type CT-2 envoient, de même que leurs stations de base, des ondes tout aussi faibles mais sur un mode digital pulsé, et cela, ici encore, seulement lorsqu’on Téléphone. Les ondes pulsées sont plus critiques sur le plan biologique que celles qui ne le sont pas.

Au contraire, les appareils du type DECT émettent des ondes relativement fortes sur un mode digital pulsé de même que leurs stations de base, lesquelles - et ceci doit être souligné - émettent à pleine puissance même lorsque le Téléphone n’est pas utilisé. C’est un véritable électrosmog, de type pulsé, à la maison et même jusqu’au dehors, sans interruption.

Cette technique par ondes pulsées, nous la connaissons bien : c’est celle des véritables Téléphones mobiles, les « handys » ou les « G », dont le rayonnement atteint des niveaux de plus en plus critiques.

De ce fait, si vous ne voulez pas de ces rayonnements pulsés permanents : ATTENTION aux alentours de ces Téléphones sans fil de type DECT ! Et peu importe le fabricant. Ils irradient en permanence, à travers les murs, jusqu’à 200 mètres de distance ! Lorsqu’un Téléphone DECT est installé dans une maison, j’en mesure le signal dans tout l’habitat environnant, dans la rue, dans le jardin, chez les voisins...

Que faire ?

J’ai tenté d’obtenir des renseignements chez les commerçants spécialisés aux alentours de chez moi. C’est à peine si l’on connaissait la différence entre les standards, si l’on savait s’il s’agissait d’ondes pulsées ou non ; personne ne pouvait répondre à la question fondée d’un client inquiet, à savoir si l’appareil émettait en permanence ou seulement lorsqu’on Téléphone. Ne vous lassez pas de poser des questions, lisez les notices d’emploi, cherchez-y les données techniques : elles y sont, du moins la plupart du temps.

Par précaution, utilisez des Téléphones ordinaires avec fil. Ne vous procurez un Téléphone sans fil qu’en tant que deuxième appareil et ne l’utilisez que d’une manière exceptionnelle, par exemple pour le travail au jardin ou à la cave. Ces coups de Téléphone sans fil devraient toujours être brefs.

S’il vous faut vraiment un « sans fil », ne perdez pas de vue que les appareils émettant des ondes non pulsées ( analogiques ) posent - d’après ce qu’on sait actuellement ( et on n’est pas près d’en savoir assez ! ) - bien moins de problèmes sur le plan biologique que ceux envoyant des ondes pulsées ( digitaux ).

Les systèmes analogiques CT-1-Plus sont sur le marché depuis des années et on les trouve encore dans les magasins spécialisés, même si les systèmes DECT à irradiation permanente ont tendance à s’imposer de plus en plus.

Perturbations techniques.

Un client s’est adressé à la société Siemens : il voulait se défaire de son sans-fil digital. Le fabricant de ce Téléphone DECT Gigaset a réagi, en août 1996, comme suit : « L’usage de ce Téléphone sans fil ne présente aucun inconvénient pour la santé. Selon la commission de protection contre les rayonnements, il n’est pas nécessaire de maintenir une distance de sécurité entre la tête et l’antenne. Votre gigaset fonctionne de manière irréprochable. L’appareil n’est pas défectueux. Nous vous souhaitons de bonnes relations avec votre Siemens Gigaset. »

S’il s’agit de perturbations non pas biologiques mais plutôt techniques, Siemens conseille, à la demande de la revue « TEST » ( voir aussi plus loin ), d’échanger chez le marchand le DECT contre un appareil de type analogique, car « les Téléphones peuvent perturber d’autres appareils dans les environs », et cela serait indiqué expressément dans la notice d’emploi.

On lit dans « TEST » ( Warentest, cahier 7, 1997 ) : « Les Téléphones DECT ne s’accordent pas avec beaucoup d’appareils électroniques, par exemple avec les récepteurs de satellites, quoi qu’il en soit des labels issus de la satisfaction à des directives européennes. Aux abords d’appareils DECT connectés, il y a de vilaines rayures sur l’image des Tél. éviseurs, et cela même si la station de base n’est pas dans la même pièce. Cela s’est vu alors que plus de 10 mètres, ainsi qu’un plafond et un mur, séparaient le récepteur-saTél. lite et la station de base. Pour les appareils auditifs également, ainsi que pour d’autres Téléphones et pour les installations stéréophoniques, les micro-ondes pulsées des Téléphones sans fil DECT sont désastreuses. Les appareils perturbés sifflent, bourdonnent, ou s’arrêtent carrément. En revanche, avec les appareils sans fil analogiques, il n’y a absolument aucun problème. »

« TEST » pose la question : « Les Téléphones DECT sont-ils des polluants électroniques ? Après des contrôles systématiques, il apparaît que tous les Téléphones DECT essayés étaient la source de perturbations. » « TEST » conseille : « Négociez à l’achat un droit d’échange, puis essayez l’appareil à fond. En cas de problèmes, écrivez au fabricant et invitez-le à faire preuve de souplesse. Plus il y aura de réclamations, plus grande sera la pression sur les fabricants. » A propos de la qualité, « TEST » écrit : « Dans les bâtiments, les Téléphones digitaux font plus mauvaise figure que les appareils analogiques ».

Ainsi, les récepteurs-saTél. lites, les Tél. éviseurs et d’autres appareils électroniques peuvent être perturbés par les signaux pulsés DECT, et cela même à 10 mètres de distance et à travers les murs. Mais pour les cellules nerveuses et cérébrales, les fonctionnaires des services de protection contre les rayonnements ne voient aucune nécessité d’une distance de sécurité ; d’après eux, vous pouvez vous mettre directement sur la boîte crânienne ce distillateur d’ondes permanentes qu’est le DECT... Pour ce qui concerne les perturbations techniques, il faut considérer des intensités de champ de 100 microvolts / m., mais pour la protection des personnes, il ne faut considérer, d’après les normes européennes, qu’une limite inférieure de 100 Volts / m.... Pour un appareil, un simple objet, on est donc un million de fois plus sévère que pour l’être humain...

Perturbations chez l’être humain.

En biologie de l’habitat ( Maes ), nous constatons, avec les médecins qui travaillent avec nous, et cela d’une manière croissante ces dernières années, que les gens réagissent aux rayonnements pulsés. Les plaintes se font de plus en plus nettes concernant des symptômes corporels ou psychiques comme par exemple des maux de tête, des vertiges, une fatigue permanente, des bourdonnements d’oreilles, des problèmes hormonaux, nerveux, cardiaques, des troubles du sommeil, des perturbations de la concentration, de l’irritabilité, des allergies, des angoisses, des troubles de la vue ou un mal-être général, et cela précisément après qu’on ait installé de nouveaux émetteurs dans les environs ou qu’on y ait mis en service un Téléphone domestique DECT.

Les résultats obtenus sur le plan de la santé après protection des chambres irradiées, après qu’on ait changé des lits de place, ou après éloignement de la source irradiante, sont clairs.

Voici parmi beaucoup d’autres une sélection de quelques cas marquants:

Sabine Willems de Krefeld avait fait examiner sa nouvelle maison du point de vue de la biologie de l’habitat avant d’y aménager et s’est installée conformément aux conclusions de cet examen. Elle s’y sentait bien et dormait bien de même que son mari et son jeune fils. Après trois ans, la qualité de son sommeil se dégrada. Cela allait de mal en pis : nuits et réveils pénibles, maux de tête, mauvaise humeur. Son mari Christoph et son fils Daniel n’avaient pas de problème. Elle avait 35 ans. Elle consulta cinq médecins, prit des médicaments, tenta diverses solutions : elle changea son lit de place, dormit dans d’autres pièces, expérimenta les différents étages, et cela six mois durant. Pas d’amélioration. Puis elle fit renouveler l’examen de son habitat. Celui-ci montra de forts signaux DECT. Ils venaient du voisin, dont le Téléphone était posé, bien en vue, sur une tablette près de la fenêtre de sa salle de séjour, à huit mètres du lit de madame Willems. Le voisin accepta, après s’être fait donner quelques explications techniques sur le DECT, d’échanger son Téléphone digital contre un modèle analogique correspondant à l’ancien standard CT-1. Il y a un an de cela. Depuis l’éloignement du Téléphone fautif, Sabine Willems ne souffre plus de rien.

Helga Gollers de Schwalmtal souffre de sclérose en plaques ; elle est handicapée et nécessite des soins. Tout à coup, son état s’aggrava rapidement; elle perdit 30 kgs en un an, ne pouvait plus garder ce qu’elle mangeait, même plus de l’eau minérale ; elle se sentait toujours très mal ; ses maux de tête devenaient de plus en plus insupportables. Elle mit tout cela sur le compte de sa grave maladie et se mit à craindre le pire... Néanmoins, elle s’étonna du fait que son mari allait de plus en plus mal également et que, un an plus tôt, c’est-à-dire exactement lorsque son état a commencé à s’aggraver, il se mit subitement à prendre des médicaments contre les maux de tête toutes les nuits. Elle avait 50 ans. « Nous étions désespérés et prêts à tout, dit-elle. Alors vint au médecin l’idée de débrancher notre nouveau Téléphone DECT. Nous l’avions acheté un an auparavant. Le seul changement dans notre chambre à coucher. Il était sur la table de nuit entre les deux lits, assez près de nos têtes... C’était ça! Après quoi, tout s’améliora pour nous de jour en jour ; c’était comme un miracle. Après deux semaines, mon mari arrêta ses médicaments, mes horribles malaises avaient disparu. Nous vivions une sorte de renaissance ! » Helga Gollers a regagné 10 kgs ces derniers mois.

Quant à la petite Susan de Dortmund, c’est depuis l’acquisition d’un Téléphone DECT qu’elle perdit le sommeil. L’appareil se trouvait sur une étagère de la salle de séjour. De l’autre côté du mur était couchée cette petite fille de cinq ans dans son petit lit. Elle se plaignait d’angoisses, de vertiges, de cauchemars, de sueur..., symptômes qui n’avaient jamais existé auparavant chez elle. Elle faisait de nouveau pipi au lit. Depuis la suppression du Téléphone, Susan est de nouveau comme avant ; elle dort bien, au sec, et n’a plus d’angoisses.

Le petit Marcel, 8 ans, de Düsseldorf, ne cessait de se gratter, jusqu’au sang, depuis 6 mois, surtout la nuit en dormant. C’est juste avant cette période qu’arriva un Téléphone DECT dans la pièce d’à côté. Les parents ne voulaient pas le croire : depuis qu’ils l’ont débranché, les démangeaisons du gamin ont cessé subitement.

Ce notaire de 38 ans de Neuss ne pouvait plus guère dormir ; il se plaignait de maux de tête et de quelques autres maux plus diffus. « J’avais le sentiment que je devenais tout à coup tout à fait vieux. D’abord une légère hypertension artérielle. J’étais toujours plus oublieux, de plus en plus nerveux, avec des palpitations cardiaques. La pression sanguine se maintenait entre 15 et 11, bien que j’eusse une certaine tendance naturelle à l’hypotension. » Il prit des bêtabloquants. A l’examen de l’habitat, il apparut qu’un signal DECT venait de la maison du voisin. Celui-ci, contrarié, fut compréhensif et acheta un autre Téléphone sans fil. Le notaire : « C’était ahurissant. Ma situation s’est éclaircie en quelques jours, et après seulement une semaine, j’ai arrêté les bêtabloquants. Pourquoi n’est-on pas mieux informé ? Qui sait seulement qu’un appareil électrique est susceptible d’émettre en permanence, et cela même pendant le sommeil, dans cette phase sensible de régénération ... où il n’est évidemment pas question d’utiliser un Téléphone ? Je crois que si les gens savaient ils seraient beaucoup plus prudents.

Il y a 3 ans que les premiers Téléphones DECT sont arrivés sur le marché. Depuis lors, j’ai connu 25 cas frappants qui ressemblent fort à ceux décrits ci-dessus. Les adultes et les enfants réagissent semblablement, certes pas toujours, mais avec une fréquence suspecte.

Dans la plupart des cas, les voisins se sont montrés compréhensifs et ont promis, aussi dans leur propre intérêt, d’échanger leur appareil à émission permanente, ou d’en acheter un autre. Ou, à tout le moins, ils le débranchaient la nuit. Dans quelques cas, les personnes concernées ont payé à leur voisins un nouveau Téléphone, ou bien les frais ont été partagés. Dans quatre cas, mes clients ont voulu, quand ils ont vu les chiffres sur le cadran de l’appareil de mesure et entendu son bruiteur, que j’emporte le Téléphone aussitôt... "

Wolfgang Maes, Neuss,

biologiste de l’habitat / journaliste DJV .

( Sur le thème des Téléphones sans fil, voir aussi :

Wohnung + Gesundheit , cahier n° 79, été 1996 )

Extrait de Wohnung + Gesundheit 3 / 98 - n° 86 .

Traduction : Jean-Claude Favresse (avec nos remerciements)

Note du traducteur : j’ai eu une confirmation inquiétante du caractère délétère du DECT lors d’une conversation avec le professeur von Klitzing au cours du colloque sur la pollution électromagnétique organisé à Bruxelles le 29 juin 2000. Il m’a montré sur des relevés graphiques la forme en lame de couteau des ondes DECT et en concluait qu’elles étaient pires encore que celles des Téléphones portables…"

En fait, le net regorge de témoignages préoccupants, et pas seulement pour les retraités utilisant en bonne proportion des implants auditifs ou cardiaques électriques qui rentraient en résonnance :

http://membres.lycos.fr/moravec/gsm-tumeur-cerveau.htm:

"Un pylone de 30 mètres de hauteur est situé à 80 m de la maion de retraite MAPAD à Albi. Elle compte 230 résidents dont certains sont médicalisés et appareillés [en implants métalliques, probablement]. Depuis fin novembre, la clinique a été équipée avec des antennes DECT. Depuis le personnel est équipé avec des téléphones portables GSM ou DECT. Or dans la période du 06/12/2004 au 26 janviers 2005, 9 résidents sont décédés, et d'autres se plaignent de maux de tête".

http://www.brest-ouvert.net/article660.html (vendredi 27 février 2004):

"Le livre blanc "Votre GSM, votre Santé, on vous ment" vient de sortir

l’Association Apursetap de Locmaria Plouzané

(…)

D’autre part, nous avons déjà quelques cas de retraités à Loc Maria Plouzané, (tous ne se sont pas manifestés) se plaignant d’accouphènes et de maux de tête à la suite de l’utilisation récente de téléphones sans fil "DECT" de maison. Notre association a pu leur répondre."

http://www.next-up.org/pages/nouvellesdumonde71RevueDePresse.php#1 (Journal belge la dernière heure) :

Antennes et risque de cancers (02/10/2006)

(…)

Les téléphones portables de maison seraient tout aussi nocifs. Leur centrale émet en permanence des ondes électromagnétiques : il est conseillé de ne pas dormir à proximité.

http://www.next-up.org/main.php?param=nouvellesdumonde45 (article d'Annie Lobé) :

Marguerite, 50 ans. Elle n’a pas de téléphone portable mais a acheté depuis deux ans un banal téléphone sans fil d’intérieur numérique DECT, une technologie qui émet des micro-ondes à 1.900 MHz. Elle a des douleurs auriculaires à chaque utilisation prolongée.

Convaincue par l’Appel de Fribourg émanant de médecins qui établissent un lien entre ce type de douleurs et l’utilisation de la téléphonie DECT[20, http://www.teslabel.be/appel_jmd.htm], elle ne trouve pas le temps de remplacer ce qu’elle pense être la cause de ses maux par un autre appareil avec fil et muni d’une rallonge pour pouvoir se déplacer. Cette incapacité à mettre en place des actions protectrices n’est pas sans rappeler deux expériences menées avec des rats exposés à des puissances de micro-ondes potentiellement mortelles

(…)

Des basses fréquences permanentes dans nos téléphones portables

La téléphonie mobile combine les technologies du radar, de la radio et du téléphone. Pour recevoir les appels, un téléphone portable en veille signale sa position en permanence. Un mobile fonctionnant avec le standard GSM européen émet des micro-ondes (hyperfréquences). Une loi de physique stipule que les ondes sont absorbées au maximum dans les organes dont la taille correspond à la longueur de l’onde ou à l’un de ses multiples. A 900 MHz, la longueur d’onde est de 33 cm.

A 1.800 MHz, elle est de 16,5 cm, soit la taille d’un cerveau humain adulte. La boîte crânienne se transforme alors en caisse de résonance, l’absorption des ondes est maximale. (A titre de comparaison, la fréquence de 2.450 Mhz à laquelle fonctionnent les fours à micro-onde, les radars et Blue Tooth, un système de liaison radio entre le téléphone portable et l’oreillette, est la plus efficace pour échauffer les molécules d’eau, dont notre corps est composé à 70 % ; sa longueur d’onde est de 12 cm).

Selon une autre loi de physique, toute fréquence émet des harmoniques qui sont des fréquences multiples de la fréquence originelle. Un téléphone portable en veille [!!!] émet aussi des basses fréquences à 2 Hz, 4,34 Hz et 8 Hz, avec entre autres, des harmoniques à 16 Hz[13, Entretien avec Jean-Claude Guiguet, Président de l’Agence Nationale des Fréquences, le 11 décembre 2003 [et ingénieur général de l'armement]]. Tzz-Tzz, Tzz-Tzz,

il est même possible d’entendre certaines harmoniques de ces basses fréquences

(perceptibles par l’oreille humaine à partir de 20 à 30 Hz)

en approchant le téléphone de certains haut-parleurs amplifiés (transistor, radio-réveil, autoradio,...).

http://www.teslabel.be/gro.htm

[Madame Gro Harlem Brundtland (62 ans), Directrice Générale de l'OMS] ne peut supporter le sans fil (téléphone d'intérieur)

On dit que les téléphones sans fil, qui deviennent de plus en plus courants dans les maisons, rayonnent de manière plus intense que les téléphones mobiles (ceci est dû à l'absence de mode de fonctionnement en faible puissance du DECT). Gro ne peut pas supporter non plus ce type de téléphone.

- "J'ai une réaction immédiate lorsque je touche ce type de téléphone".

Sur http://forum.doctissimo.fr/sante/pollution/Telephone-sans-DECT-sujet-143305-1.htm, pas de discussion sérieuse. Il manque des tests probants et des gens osant faire des études sur le sujet.

Et si on regarde un rapport parlementaire de 2002, on constate que les études liant cancer et station de base portent sur des émetteurs d'ondes radio et télé, plus puissants mais peut-être non pulsés. Pourtant, on voit déjà des cas de leucémies inquiétants chez l'enfant en Australie et en Angleterre (Preece). Les futurs élèves atteints de gliome pour être passés par l'école de Saint-Cyr apprécieront (http://www.senat.fr/rap/r02-052/r02-0521.pdf).

Les avantages du DECT seraient seulement ceux-ci :

" Pour etre plus precise, il y a :

- systeme DECT (Digital Enhanced Cordless Tele-communications) qui emet des ondes relativement fortes sur un mode digital pulse. C'est une norme europeenne pour les telephones sans-fil domestiques.

En bref, c'est du numerique qui utilise des fréquences de 1880 à 1900 MHz

- Et, le non pulse, c'est-a-dire l'analogique.

Concernant les risques d'interceptions de communications telephoniques. Il semble que l'analogique est plus fragile car il y aurait plus d'interferences (possibilite d'etre entendu par des voisins utilisant le meme type de materiel ou autre appareils).

Quoiqu'il en soit, les fournisseurs d'acces a l'Internet proposent aujourd'hui des abonnements pour communications par telephone illimitees (Generalement VOIP ou cable). Et, pour cela, il faut du materiel numerique. Alors ? Quoi faire ?

Si l'on a besoin d'avoir deux combines telephoniques dans un appartement ou une maison, aujourd'hui il faut payer pour poser des fils. Et, ce n'est pas toujours possible ou simplement pas esthetique!..

Alors le sans fil s'impose. Et, dans ce cas c'est la norme Dect ou du "long range cordless phones" . Il n'y a pas de choix. "

http://www.domsweb.org/ecolo/antennesmobiles.php:

" La puissance d'émission d'un téléphone sans fil (donc à la maison) et de sa base sont de 10 W/m2 (0,1 W/m2 en suisse et en Italie) au lieu de 0,1 à 2W/kg pour les mobiles. (…)

Les ondes de téléphonie numérique, qu'elles soient des antennes-relais, des téléphones mobiles ou des téléphones sans fils (DECT), sont des ondes pulsées et ce sont les effets non thermiques qui sont prouvés pour être dangereux pour la santé; alors que les normes actuelles des états sont fixées sur les effets thermiques !(…)

Le corps humain et en particulier le cerveau fonctionnent de manière électrique et on peut donc supposer qu'un champ électromagnétique peut l'affecter.. en particulier celui du téléphone portable et de sa batterie que l'on colle près de son cerveau !(…)

La puissance du champ électrique d'un téléphone mobile lors d'un appel varie entre 20 et 50 V/m et jusqu'à 200 V/m lors de la connexion (…) [Or 50 et 200V/m paraît dangereux car au-dessus même du seuil de protection de 41V/m adopté par le Conseil Européen]

Téléphones fixes DECT

Les téléphones numériques DECT sont aussi très émetteurs d'ondes électromagnétiques pulsées, et cela 24h/24 (car cela coûte un peu d'effort et un petit peu d'argent aux fabricants pour concevoir des appareils qui n'émettent que lors des conversations ! [l'oseil, toujours l'oseil…]C'est l'ancien standard sans-fil "CT1+"). Privilégiez les bons vieux téléphones avec fil !

La puissance moyenne d'un DECT est autour des 10mW, mais il émet des pulsations de 250mW plus de cent fois par seconde.. même lorsqu'on ne téléphone pas !

Système Fréquences d'émission(MHz) Champ électrique(V/m) Champ magnétique(A/m ou T) Densité de puissance(W/m2) Puissance d'émission(W)

Téléphone

DECT collé à l'oreille 1880 - 1900 100 0,5µT 0,08 W 10mW + 250mW 100x/s

Effets dangereux

à partir de - 0,1 V/m 0,3 µT 10 µW/m2

".

100x/ s : Cela fait donc une fréquence de 100 Hz ? Au-dessus des ondes cérébrales, donc pas de risque ?

Cependant 0,5µT semble supérieur au degré de dangerosité de 0,3, dont on ne sait d'où il vient, l'OMS parlant, quant à elle, de " limite normale de 100 μT recommandée pour la population générale et de (…) 500 μT recommandée pour les travailleurs."

Un site nous informe que pour le DECT, c'est 6V/m en permanence à la base, en veille, chez les gens,

Et, en fonction c'est une moyenne de 20 V/m dans le champ proche, soit plus à côté.

Question : cette intensité de champ électrique est-elle vraiment dangereuse si la limite de dangerosité est fixée au niveau européen à 41V/m?

Oui car, "L'Italie dans un décret de 1998, a adopté un seuil d’exposition de 10 µW/cm2 (6,1 V/m).

Le Grand-duché de Luxembourg a adopté en décembre 2000 un seuil d’exposition de 3 V/m.

En Toscane le seuil d’exposition est limité à 0,5 V/m.

En Autriche, la Résolution de Salzbourg avait recommandé 0,6 V/m, mais vient de descendre à 0,06 V/m"

Et "Une loi Européenne fixe un maximum de 3 V/m pour protéger le matériel électronique contre les champs magnétiques .. pour les humains, la limite est au mieux de 41 V/m ..."

Ce que confirme un site réalisé par des hauts fonctionnaires et officiers français :

http://www.esas-institute.com/index.php?chemin=fr/article/2.html

[Les seuils de protection] sont, pour des fréquences de 900 MHz, de 41V/m, 0,1A/m et 0,08W/kg. Cette dernière densité vaut aussi pour le 1800 MHz (niveau de référence en matière d'intensité : 58V/m et 0,15A/m. En octobre 2001, le gouvernement français a avalisé ces normes. Il faut savoir que dans certain pays voisins, les seuils sont plus sévères : 3V/m au Luxembourg, 4V/m en Suisse à titre d'exemple.

Liste verte et noire des téléphones sans fil pour utilisation sédentaire (site allemand, notre traduction ici-bas) :

http://www.gigaherz.ch/469

"Téléphone sans fil maison

Liste verte et noire (valable en April 2002)

Nous vous recommanons le plus possible d'utiliser d'utiliser des téléphone filaire, et plusieurs par pappartements en cas de besoin.

Si vous voulez absolument avoir un sans fil, vous devez acquérir des standards "CT1+", et ovus devez absolument éviter les DECT qui fonctionnent en continu pendant 24heures avec des ondes pulsées électro-magnétiques, même quand vous ne téléphonez pas !!!

Liste des téléphones analogiques (CT1+) encore disponibles :

Audioline CDL 910G

Audioline CDL 971G

Bosch CT-COM 157

Commodore 150 CT b

Commodore 200 CT

Commodore 250 CTA

Daewoo DWP 5000 (S)

DeTeWe twinny plus

Grundig CP-500

Grundig CP-510 AM

IVS Butler 131

MBO Alpha 1800 CTA

MBO Alpha 1400 CT

MBO 1700 CT (inkl. 2 Mobilteile)

Medion MD 9970

Olympia Melody (Deluxe)

Olympia Mira Plus

Olympia Mira Voice

Philips Aloris

Telesys Max

Telesys TS-6060

Uher CT I concept

[ND webmestre : on pourrait ajouter tels ou tels Siemens "analog", facilement détectable sur le site Siemens, signe que ce site allemand ne vise pas à nous faire racheter de nouveaux téléphones de l'industrie allemande]

Voici la liste noire des téléphones DECT. Ne touchez pas à ceux-là !

AEG Birdy

AEG Birdy Voice

Alcatel One Touch ...

Ascom Avena 122

Ascom Avena 133

Ascom Avena 215

Ascom Avena 233

Ascom Eurit 133

Audioline DECT ...

BeoCom 6000

DeTeWe Bee Tel ...

DeTeWe Eurix ...

Dt. Telekom Sinus CPA 710

Dt. Telekom Sinus C 810

Dt. Telekom Sinus 23 ...

Dt. Telekom Sinus 45 ...

Dt. Telekom Sinus 61 ...

Dt. Telekom Sinus CP 710

Dt. Telekom Sinus CPA 710

Dt. Telekom Super Schnurlos C540

Dt. Telekom T-Easy ...

Dt. Telekom T-Sinus 930 (ISDN-Anlage !)

Dt. Telekom Octophone free 2 (ISDN-Anlage !)

Elmeg DECT 100

Ericsson DECT ...

Ericsson DT 230i

Gesko Antares ...

Hagenuk Topas S

Hagenuk Topas C

LOEWE Alphatel 4000D...

LOEWE Alphatel 5000D...

Panasonic KX TCD ...

Philips Kala ...

Philips Magic 2 Kala (Faxgerät !)

Philips Onis ...

Philips Zenia

Sagem DCP ...

Sagem Dual Mode DECT/GSM DMC 830

Sagem Mistral 60 isdn

Samsung SP-R ...

Sanyo DigiTalk ...

Siemens Gigaset ...

Swatch Cordless ...

Swatch ISDN-Cordless ...

Tiptel DECTLINE ...

T-Mobil T-Easy C 520

Universum SL 15

Vous trouverez ici le rapport d'un pédiatre sur le téléphone sans fil: (…)"

On attend donc que des mesures soient prises. Et que les normes de fabrication des DECT et du wifi soient modifiées. Que faire ? Supprimer non seulement ces appareils de chez soi mais aussi se protéger des émissions électriques de ses voisins ? S'enterrer dans un sous-sol ? Elever autour de sa maison une cage de Faraday ?

Régler les DECT à un niveau de champ électrique de 12 ou 24 volts (ce que nous suggère sans le moindre fondement scientifique la dernière phrase de ces recommandations prévues en mars 2002 par Robert Deséchalliers, conseiller technique pour la mairie de Paris:

http://www.esas-institute.com/index.php?chemin=fr/article/2.html

Les appareils électriques

(…)

La plupart des téléviseurs et plusieurs autres appareils possèdent des transformateurs consommant de l'électricité même lorsqu'ils sont éteints, il est donc recommandé aussi bien pour des raisons de consommation 6 à 10 W/h à l'arrêt) que de protection de les mettre hors tension quant ils ne servent pas.

Mettre ces charges cachées (ou "fantômes") sur des prises de courant contrôlées par un interrupteur mural. De cette façon, ces appareils pourront être totalement éteints, éliminant tout champ magnétique. Sachez que tout appareil branché génère un champ électrique, mais moins nocif que les champs magnétiques, qui traversent les corps et objets.

Garder les appareils énergivores loin des pièces très utilisées par les occupants, Les ventilateurs, climatiseurs, fours micro-ondes, plaques à induction, réfrigérateur, congélateurs, plinthes électriques, et néons ou fluorescents ordinaires génèrent des champs magnétiques importants.

Garder les radios, répondeurs et autres appareils électriques à au moins 1,2 m de votre lit.

N'utilisez pas le téléphone cellulaire "GSM" plus de 6 minutes à la fois. La norme internationale exige que leurs ondes radio ne puissent chauffer les tissus humains en 6 minutes. Choisissez plutôt un téléphone à antenne intégré qui limite la propagation des ondes à l'opposé du crâne. Les récepteurs des téléphones de voiture permanents (dotés d'une antenne sur le capot) n'émettent pas d'ondes radio dans l'habitacle.

(…)

Le câblage

Situer loin des pièces fortement utilisées, et surtout des chambres à coucher, le compteur, tout panneau de service, le câblage majeur et tout transformateur (d'ordinateur, de thérapie, d'éclairage, etc.) transportant des charges importantes et générant des CEM importants.

Par exemple, on installera le tableau de répartition et le compteur sur le mur extérieur du garage. Certains constructeurs vont plus loin encore et tirent les câbles via le sous-sol, au lieu du long des murs de périmètre. Situer les chambres à coucher le plus loin possible de la cuisine, où un apport important de courant est essentiel.

À la limite, la nuit, coupez le courant au tableau de répartition ou à l'aide d'un interrupteur spécifique. On peut même prévoir des appareils utilisant une tension de 12 ou 24 volts à courant continu (DC), qui minimise également les CEM".


2.9.06

Voyageons dans l'esprit de nos contemporains pacifiques, et, pour changer, dans la vie parfois exemplaire de nos frères les grands singes 

Un petit florigère du site http://lespasseurs.com/accueil.php (mais ne cherchez pas de réalisme politique ici, ces gens gobent tout et on a droit, en la personne de van Helsing, à un fan de l’extravagant Livre Jaune, particulièrement bâclé sur le 119...).

http://lespasseurs.com/pensee.html

- Avance si tu ne veux pas reculer –Anonyme

- Il n'est pas difficile de faire un pas en avant; ce qui l’est, c'est de le décider – Anonyme

- On ne consent pas à ramer quand une force intérieure nous pousse à voler. – Helen Keller

- Qui ne se plante jamais n’a aucune chance de pousser – Proverbe arabe.

- Le hasard est le chemin choisi par ceux qui ont peur de la vérité. – Florence 12 ans

- Même dans le plus grand désarroi il existe toujours un chemin qui mène à l'âme. – Saül Bellow

- Foi, incroyance, rumeurs colportées, Coran, Torah, Evangile prescrivant leurs lois…A toute génération ses mensonges -que l’on s’empresse de croire et consigner. Une génération se distinguera-t-elle, un jour, en suivant la vérité ?. – Al - Ma'arri

- ..ne te fie pas à tes yeux, tout ce qu'ils te montrent, ce sont des limites, les tiennes. Regarde avec ton esprit, découvre tes convictions et tu trouveras la voie de l'envol. -Jonathan Livingston le Goéland

- http://lespasseurs.com/texteamediter.html

- http://lespasseurs.com/personnescadeaux.html

Citation en cadeau :

"l'emballage n'est pas le cadeau!

C'est si facile de faire l'erreur...et nous rions

quand les enfants prennent l'un pour l'autre.

Parfois, le cadeau est très facile à ouvrir,

parfois il faut se faire aider.

Peut-être parce que les autres ont peur?

Ils ont peut-être déjà été ouverts et rejetés?

(…) Je suis un cadeau pour les autres,

est-ce que j'accepte d'être donné aux autres?

Les autres doivent-ils se contenter de l'emballage?

Peuvent-ils apprécier tout le cadeau?

Toutes les rencontres sont des échanges de cadeaux"

- http://lesogres.info. Ces infréquentables auto-proclamés veulent détruire les frontières ! Notamment la frontière entre le pouvoir qui frime et le peuple qui trime. Ca peut se tenir dans la plupart des cas. Dommage qu’ils n’aient pas assez de dents pour percer et croquer le mythe du 11/9. Leur bandeau est pas mal :

"A méditer... "Pour réduire l’intégrisme et l’extrémisme, efforçons-nous de DIALOGUER avec les intégristes et les extrémistes".(…) LE POUVOIR ISRAELIEN EST UN DANGER PLANETAIRE: Palestine/Liban - La lutte contre le terrorisme a toujours été et ne peut-être qu’une guerre de l’ombre, une action de services secrets. IL N'Y A PAS UNE ARMEE CONTRE UNE ARMEE ! Intox médiatique mondiale ! N’acceptez pas de laisser dire "guerre" contre le terrorisme ! C’est une intox politique pour justifier un néo-colonialisme avide, sanguinaire et hystérique. Ou alors fermez-la et priez pour nous tous, si vous y croyez encore... L'axe du désordre mondial est AMERICANO-ISRAELIEN - Il est de nature fasciste et quasiment désormais néo-nazi - Merde à ta pétro-guerre ! Bush ! (CLIC ICI) Merde aux commerçants inhumanitaites d'armes et de pétrole ! --"

- http://counterpunch.org. On admire la curiosité critique de ces pacifistes qui dissèquent pour nous la politique américaine.

- http://quibla.net. Site anti-guerre et anti-propagande fait par des musulmans et leurs amis, pas dupes des manipulations du 11-septembre (voir au bas de leur page).

- http://france-echos.com. Un culot et une parano plus importants qu'un de ses adversaires, http://lesogres.info. On est tous le fou de quelqu’un, et eux sont certainement les fous des musulmans, qu'ils exècrent et dont ils se présentent comme leurs victimes… Comment faire dialoguer tous ces gens ?

- http://jackblood.netfirms.com/home/headline.html. Pas d’hésitations, l’actualité est commentée sans y aller avec le dos de la cuillère. Jack Blood a un tempérament à soulever des pyramides.

- http://michelcollon.info, un site d'info anti-impérialistes.

- http://lorgane.com. Humour et commentaires révoltés contre toutes les conneries qu’on doit supporter. Surtout orienté contre les conneries régnantes.

- http://youtube.com, http://dailymotion.com. Plein de créations étonnantes par des esprits combattifs !

Enfin, pour ceux qui seraient en position de faire bouger des choses et auraient un message à faire passer, on ne peut que conseiller ces listes d'information :

business solidaire : aubergedelasolidarite-subscribe@yahoogroupes.fr (mais un des modérateurs a censuré notre présentation d'une page de Jean-Pierre Petit pour diffuser dans les milieux civils une énergie nucléaire non polluante et arrêter la course aux armements nucléaires à des fins militaires, par frilosité intellectuelle devant cet auteur controversé, alors que le message ne s'opposait en rien à la charte), http://lettre.ouvaton.org/Lettre/subscription.php (Ressources solidaires)

antiguerre : roger.romain@skynet.be, do@mai68.org, assawra-subscribe@yahoogroupes.fr (axé sur la Palestine).

Bon surf jusqu’à la prochaine guerre contre l’Iran (en octobre) suivie d’un attentat aux US genre "feu du Reichstag", C’est du moins l’avis d’hommes assez informés, Nafeez Ahmed (http://nafeez.blogspot.com) et Daniel Ellsberg (http://www.infowars.com/articles/terror/pentagon_papers_author_gov_maybe_did_911.htm). Les chauds partisans du régime militaire israélien, CRIF compris, n’appellent-ils pas de leur vœu des frappes nucléaires (cf. http://www.voltairenet.org/article142888.html) ?

Vous prend-il soudain une envie de doux exil, très loin ? Dans les montagnes, par exemple ? Tiens pourquoi pas chez les gorilles ? Leur vie n’est-elle pas tout compte fait plus enviable ? N’auraient-ils finalement pas plus de temps que nous à vivre ? On a l’impression qu’ils font moins n’importe quoi et pensent moins de travers que la plupart des hommes, plus maladroits et ridicules que n’importe quelle espèce, avec leur vanité, leur ânerie, leur désir de confort, leurs convoitises, leur futilité et leur besoin de reconnaissance maladifs. Parce que les hommes sont moins libres socialement et intérieurement ?

"Plus on connaît les singes, moins on aime les hommes", nous apprenait Diane Fossey, cette merveilleuse émerveillée (http://i36.photobucket.com/albums/e1/Renee11743/DianeFossey.jpg

http://www.solonosotras.com/images/cultura/dianfossey.jpg

http://www.bsu.edu/web/theta/Intropage/Famous%20Alums/Fossey.jpg)…

A signaler d’autres comparaisons avec nos existences.

http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=955006

"Nos frères les singes 4 - Chimpanzé ou bonobo : Reflets dans un miroir"

Article publié le 11 Août 2006, Par Catherine Vincent

"Extrait : Violente, patriarcale et politique, la société des chimpanzés diffère radicalement de celle des bonobos, matriarcale et pacifique. L'homme, « singe bipolaire » par excellence, balance, lui, entre les deux modèles. Au zoo de Twycross, en Grande-Bretagne, Kuni vit un jour un étourneau heurter la vitre de son enclos. Aussitôt elle vint à son aide, et le remit sur ses pattes. Mais l'oiseau, assommé par le choc, ne pouvait s'envoler. Le tenant dans sa paume, la femelle bonobo grimpa alors au sommet du plus grand arbre. Elle lui déplia délicatement les ailes et le lança en douceur, comme l'aurait fait un enfant d'un planeur en papier, en direction de la liberté. L'étourneau fut sauvé".

(cela change avec ce que l’on fait subir aux bêtes… Avez-vous vu le site http://fourrure-torture.com ? Chiens d’humains, va !).

http://www.lexpansion.com/art/0.0.114434.0.html:

15/04/1993 DES PATRONS ET DES SINGES

L'Expansion

[A propos d’un livre de Marie Muzard sur la jungle entrepreneuriale (Ces grands singes qui nous dirigent, Albin Michel).]

"Troisième leçon : plus les sociétés de singes sont sophistiquées, plus le rôle du chef est limité et la créativité démultipliée. En dehors des périodes de crise - guerres intestines, menaces de prédateurs, sécheresse -, le chef chimpanzé n'est guère interventionniste. Sa sociabilité, son intelligence, sa détermination, son goût du risque l'ont conduit au pouvoir grâce à un réseau d'alliés. Mais, à l'inverse des macaques rhésus, dont la structure de pouvoir est pyramidale, le chef chimpanzé dirige une tribu décentralisée, dont les membres sont relativement autonomes.

Les subordonnés peuvent partir chasser de leur côté.

Avant de prendre quelque initiative que ce soit, le macaque rhésus consulte son chef. Le chimpanzé, lui, ne craint pas de se lancer dans des aventures et de quitter momentanément le groupe. La créativité d'un groupe de singes peu évolués, note Marie Muzard, est égale à celle de ses dominants. Alors que, chez les chimpanzés, elle est la somme de la créativité de tous ses membres. Il n'est pas surprenant que nos proches cousins soient plus habiles dans la fabrication d'outils que les macaques rhésus, par exemple, et que leur répertoire de parades soit nettement plus riche.

Mais attention : la décentralisation comporte ses dangers. (…) Aucun chef chimpanzé ne peut résister aux coalitions organisées par des subordonnés intelligents, écrit notre primatologue."

Voilà le problème : l’homme, pour ne pas tomber trop bas, essaie souvent, lui, de réduire l’intelligence de ses subordonnés… Eternelle opposition entre l’intérêt individuel et le bien commun. Ceux qui agissent ainsi sont souvent ceux qui ont le plus d’incompétence et de turpitude à cacher. Mais un gouvernement correct n’est jamais à l’abri des ambitions des mauvais esprits d’en-face. L’échappatoire consisterait sans doute à partager les richesses et à instaurer, par le biais du dialogue, le respect. Mais y a-t-il assez à donner à tous et ceux qui convoitent toujours plus peuvent-ils ressentir du respect ?

Si la pollution et les maladies continuent à ce rythme, ne devra-t-on pas vivre dans des zones protégées ? Faudra-t-il prendre les mêmes précautions que l’on prend pour les grands singes ?

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-803160,0.html

"Est-il trop tard pour les sauver ?

LE MONDE | 12.08.06 | 13h55 • Mis à jour le 12.08.06 | 13h55

"Il est minuit moins une pour les grands singes" : la formule, attribuée à Klaus Toepfer, directeur exécutif du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), est à peine excessive. Le 9 septembre 2005, à Kinshasa (République démocratique du Congo), 24 pays membres de l'ONU s'associaient pour faire une annonce dramatique et sans précédent : si rien n'est tenté par la communauté internationale, d'ici à 2015, tous les grands singes anthropoïdes auront disparu de la nature avant 2050.

A LIRE

LE SINGE EN NOUS, de Frans de Waal. Ed. Fayard, 2006, 326 p., 20 euros.

(…)

LES GRANDS SINGES, L'HUMANITÉ AU FOND DES YEUX, de Pascal Picq, Dominique Lestel, Vinciane Despret et Chris Herzfeld. Ed. Odile Jacob, 2005, 124 p., 33 euros.

UNE TENDRESSE SAUVAGE, de Claudine André. Ed. Calmann-Lévy, 296 p., 18 euros.

DES ZOOS POUR QUOI FAIRE ?, de Pierre Gay. Ed. Delachaux et Niestlé, 2005, 222 p., 19 euros.

THE WORLD ATLAS OF GREAT APES AND THEIR CONSERVATION, de Julian Caldecott et Lera Miles. Ed. University California Presse, 424 p., 42,90 euros. traduction française en cours.

(…)

Une priorité a été dégagée : améliorer les mesures de recensement des populations. Mais le nerf de la guerre reste à trouver : au bas mot, 25 millions de dollars pour les seules actions urgentes (inventaire, lutte contre le virus Ebola et le braconnage, sensibilisation et éducation des villageois). En attendant, les grands singes continueront de voir leurs effectifs naturels diminuer. Et les zoos, de plus en plus, deviendront leur ultime refuge.

Indispensables parcs zoologiques ! Autrefois prédateurs d'animaux, les voilà devenus conservateurs. Dépositaires d'une mémoire vivante qui, un jour peut-être, permettra de repeupler la planète. En Europe comme aux Etats-Unis, nombre d'entre eux ont déjà investi cette nouvelle mission. Dans le cas d'une espèce ne subsistant dans la nature qu'en un seul endroit, comme les bonobos ou les orangs-outans, ils permettent d'éviter le pire : les animaux en captivité étant répartis dans plusieurs parcs, les catastrophes naturelles et les contaminations ne les atteindront jamais tous en même temps. Et leurs locataires, lorsqu'il s'agit de bons établissements, ne sont pas forcément plus malheureux que dans leur habitat naturel en cours de désintégration.

(…) sont désormais mis en œuvre des plans d'élevages internationaux qui permettent de connaître les effectifs en captivité, de programmer les naissances et d'organiser régulièrement des échanges, évitant la consanguinité.

(…)

"L'histoire individuelle d'un animal en captivité n'est pas la même que dans son habitat naturel, et elle peut se transmettre d'une génération à l'autre", souligne la vétérinaire Marie-Claude Bompsel. Professeur au Muséum national d'histoire naturelle, elle raconte la triste histoire de Lingga, un bébé femelle orang-outan dont on va bientôt fêter, à la ménagerie du Jardin des plantes de Paris, le premier anniversaire. Depuis qu'elle l'a mise au monde, sa mère, Wattana, s'en désintéresse complètement, et ce sont les soigneurs de la ménagerie qui ont dû, jour après jour, la toiletter et la nourrir.

Si Wattana, dont Lingga est le premier - et sans doute le dernier - enfant, se conduit en mère dénaturée, c'est qu'elle a elle-même connu une enfance malheureuse. Orpheline dès son plus jeune âge, elle a elle aussi été élevée "à la main", et n'a pas bénéficié d'exemple familial pour apprendre son métier de parent. Devenue grande, Lingga fera-t-elle mieux que sa mère ? "Lorsque les grands singes sont élevés par les hommes, ils s'humanisent", constate Marie-Claude Bompsel, " et cela ne leur rend pas forcément service".

(…)

Catherine Vincent"

Quelques sites sur nos amis les singes :

http://www.grands-singes.com/pages/singe.htm (notre préférence va au bonobo, végétarien dénué de tout esprit de chasseur, et à l’orang-outan, qui va la plupart du temps seul. On retrouve trop de nos défauts chez les chimpanzés et les gorilles : lorsqu'un mâle gorille atteint la maturité, il cherche à créer son propre groupe en emmenant des femelles de son groupe natal ou en cherchant des femelles d'autres clans. Et s’il est généralement un géant pacifique au cœur tendre, des batailles surgissent alors parfois. Le rang d'un chimpanzé dans la hiérarchie du groupe dépend de sa naissance et de sa sociabilité, notamment au cours des séances d'épouillage mutuel. Faisons-nous donc des compliments et des marques d’attention réciproques ! Mais les mâles se lancent fréquemment dans des parades d'intimidation pour prouver qu'ils sont les plus forts et les plus courageux.

http://planete.simiesque.free.fr

http://www.greatapeproject.org

http://www.pan-paniscus.org

A côté du gorille, même si ce dernier est un tantillet dictateur, y a pas photo :

"L’homme est le mongolien du singe", comme le titrait un pamphlet de la Vérité, journal lancé par Marc-Edouard Nabe.

http://m.e.nabe.free.fr/Verite/n2.pdf

"L’homme est le mongolien du singe

« Flocon de Neige » (Copo de Nieve), le seul spécimen de gorille albinos que l’homme ait jamais connu, est mort le 24 novembre au zoo de Barcelone après quarante ans de loyaux services à l’espèce humaine. La mort annoncée de ce singe était attendue anxieusement depuis des mois par les Espagnols dont il était la véritable mascotte. Cette mort coïncide aussi avec les cris d’alarme poussés par les scientifiques : les grands singes sont littéralement en voie de disparition et leurs forêts en passe de disparaître. L’évolution de l’Homme s’est toujours faite en détruisant ou en humanisant les bêtes, alors que l’Homme, pour vraiment évoluer, n’a qu’une chose à faire : s’animaliser. Si une mouche (ou même un suricate) décrétait un beau matin que son espèce est le nec plus ultra de la civilisation, la plupart des êtres humains se tordraient de rire. Oui. Ce que peu de gens savent, c’est que lorsque l’Homme, en vertu d’obscures théories darwinesques, se déclare l’espèce la plus évoluée de la planète, c’est la faune entière qui se tord de rire. Il n’y a franchement que des crétins d’humains pour croire que l’Homme soit le summum de l’évolution de la vie animale. Malgré plusieurs années d’école et une solide éducation civique, j’ai réussi à sauvegarder un peu de bon sens et d’esprit géométrique. Je sais donc que les mouches n’ont pas attendu les avions pour apprendre à voler, que l’Homme cherche depuis toujours la jeunesse éternelle mais que les étoiles de mer, quine vieillissent pas, l’ont trou-vée… Plus simplement, toute personne ignare mais encore décente convient que, dans un supermarché, en période de soldes, le regard effaré d’un chien attaché au portillon reste le dernier signe de bonne santé mentale. Je n’ai strictement aucun échange intellectuel digne de ce nom avec mes congénères mais j’en ai beaucoup avec les animaux. Particulièrement avec les chiens du fait de leur névrose quasi christique (ils tendent toujours la bajoue gauche) et surtout avec les singes. Qui se ressemble s’assemble. Tout le monde sait que le génome du singe est à 99,4 % identique au nôtre. Les 0,6 % qui nous séparent du singe doivent être liés à un chromosome dans le style 21. Quand le premier homme a fait son apparition sur terre, les grands Singes l’ont regardé comme un singe « taré ». Exactement comme un être humain dit « normal » regarde un trisomique. Aucun gorille ni chimpanzé sur cette planète n’a vu dans lenouveau spécimen humain un singe évolué, mais bien un singe dégénéré. L’Homme, avec son grand H, n’est rien d’autre que le mongolien du Singe. Tous les Singes le savent. L’homme, ce singe « taré » a réussi en quelques milliers d’années à foutre en l’air les trois quarts de la planète entière. Il se lamente aujourd’hui, sans la moindre once de gêne, de la dis parition programmée de ses propres parents «les grands Singes » et réclament des millions de dollars pour sauver les forêts ou plutôt pouvoir continuer à les saccager. Chez la race humaine, un salaud en masque toujours un autre, il ne faut jamais l’oublier. Il y a pire encore que les fachos qui exterminent à tout-va les animaux, il y a ceux qui les adorent. Les « amis des bêtes » souhaitent faire partager à la race animale les « bien-faits » du Progrès, les humaniser, les «élever », ce qui signifie les rabaisser à notre niveau d’abrutissement. Ce sont les mêmes aujourd’hui qui pleurent la disparition d’un magnifique Gorille albinos que ces imbéciles ont, par indécence extrême pour ne pas dire bêtise congénitale, appelé « Flocon de neige». Ceux qui ont rencontré ce gorille et qui l’ont vraiment aimé n’ont jamais eu la grossièreté de lui adresser la parole, encore moins de l’appeler par un nom qui jamais ne fut le sien. Notre langage si insignifiant est injurieux pour les Singes et notre « intelligence » est pour eux le signe même du Mal. « Flocon de Neige » n’est pas la peluche des gentils humains, il est le martyr même de la race simiesque. Toute sa vie il a vécu entouré de malades-mentaux d’hommes. C’est à l’âge de deux ans, en Guinée Équatoriale, sur le corps criblé de balles de sa mère, que ce singe a fait connaissance avec l’humain. Pour son malheur, il était blanc et ses yeux étaient bleus. L’Homme, toujours fidèle à son chromosome 21, se prit à l’adorer et dépêcha un régiment de spécialistes pour analyser son albinisme. Le petit gorille devint rapide-ment une star et fut envoyé au Zoo de Barcelone.Bourré d’anti-dépresseurs pour supporter la compagnie humaine, le singe rempilait tous les après-midis comme salarié principal du parc zoologique. Des foules de primates «humains» venaient reluquer ce gorille immaculé, graissant la cage de leurs doigts humectés de churros. Bien décidés à l’abrutir, les amis des bêtes — toujours eux ! — organisaient des fêtes pour l’anniversaire de leur « copito », dansaient la sardane dans sa cage et tentaient vainement d’entamer la conversation avec lui. Le Singe, ce Saint, continuait à manger son céleri et ses carottes, totalement indifférent au spectacle des mongoliens. On fit déplacer Salvador Dali en personne pour sensibiliser l’animal à l’art. Dali lui offrit une poupée gonflable habillée en mariée. Le gorille lui jeta alors un tel regard de mépris que je sais de source sûre que le surréalisme ne passera jamais à la postérité. Croire que l’Art nous rend supérieurs aux animaux est une vaniteuse erreur. C’est précisément parce que nous sommes inférieurs aux animaux que nous avons besoin de l’art pour vivre. Le Singe ne comprend rien à l’art pour la simple raison qu’il vit déjà dedans. Tout ceque vit l’homme est un ersatz de la Vie. Le Singe est dans la Vie. Gaudi, cet autre catalan, disait que « la seule originalité pour un artiste consiste à revenir à l’Origine ». Les Singes, nos ancêstres, en savent plus que nous sur l’Origine. « Flocon de Neige » a crevé à petit feu d’une maladie typiquement humaine : un cancer de la peau. Il portait les stigmates de l’homme à même le corps, des plaies purulentes où les mouches se posaient pendant la journée. Ces dernières années, le monstre blanc refusait même de montrer son visage aux rats humains agglutinés devant sa cage de verre. Ceux qui l’ont vu, comme moi, en vrai, se tenir droit et immobile pendant des heures, les bras croisés, tournant ostensiblement le dos à la foule savent ce qu’est la véritable dignité."

Anne-Sophie Benoit


1.9.06

11/9 : des chiffres, des rapports bancals, des conjectures … mais pas assez de faits : Facts and figures ! 

Faute de preuves, l’"hyperterrorisme" musulman est une illusion entretenue par nos armées, une arme d’anéantissement et de soumission des nations et des cultures ! Cette illusion mortifère est insinuée à la fois dans les cerveaux des militaires et dans ceux des civils, dans le but de justifier tout un programme de boucheries exécutées par des robots humains ! Nous vivons dans un monde occidental profondément totalitaire au sens d’Hanna Arendt !

Gouvernements et hommes politiques du monde entier qui vous démarquez des criminels de guerre, faites cesser la dissimulation ! Demandez, par une résolution ou de simples communiqués, et au nom de la justice et de la rage de vivre des humains au cœur pur, que l’on donne des preuves tangibles contre """Al Qaïda""" !

Honte à vous si vous ne demandez pas que soient étudiées les vidéos du Pentagone, les moteurs des quatre avions et leurs boîtes noires !

Honte à vous si vous ne demandez pas que soient divlgués les communications et les signaux provenant des avions (http://www.physics911.ca/Air_Traffic_Control_Recording_of_9/11_Flight_93), ou les vidéos des aéroports – à chercher peut-être du côté d’ICTS International dont le boulot consistait notamment à gérer les passagers dans trois aéroports, qui se lançait dans la surveillance du rail en mai 2005 deux mois avant les attentats de Londres, et qui possédait un bureau à Tavistock Square là-même où le bus de deux étage a explosé (http://www.icts.co.uk/04_contact_us.htm ) !

Honte à vous si vous ne demandez pas qui a pu mettre des bombes "sous les wagons des trains" de Londres ("under the carriage of the train" selon un journaliste du Guardian s’étant entretenu tout une matinée avec les survivants de la station d’Edward Road) ! Ces bombes plaquées par-dessous les trains ont soulevé des dalles du plancher, fait dérailler le train, blessé très gravement un passager aux jambes (http://stream.guardian.co.uk:7080/ramgen/sys-audio/Guardian/audio/2005/07/07/honisbaum_070705.ra "Someone help me… please help me", Mark Honigsbaum, http://www.officialconfusion.com/77/witnesses/honigsbaum7705.mp3 , http://london-bombs.blogspot.com/2006/01/bombs-went-off-under-trains-eye.html) !

Honte à vous si vous ne demandez pas à Visor Consultant et Peter Power pour quelle compagnie située à proximité des propriétés d’affaires juives ils travaillaient le matin du 7 juillet 2005 à Londres, sur une simulation d’attaque terroriste dans le métro ! (Peter Power précise bien que cet exercice fut mené avec l’assistance de cette compagnie : "with their assistance" et non "with no assistance", comme cela est faussement retranscrit sur http://www.globalresearch.ca/index.php?context=viewArticle&code=20050712&articleId=665 )

Honte au juge Alvin Hellerstein qui bloque les plaintes des familles de victimes contre les compagnies aériennes et de sécurité !

Honte à ceux qui ont tué ou accidenté Hunther Thompson, Dale Solly, Phil Smith, Rose Panek, Rudi Dekkers, Ezra (ou Erza) Harel, et qui ont maltraité Christopher Bollyn ! Ils n’ont pas été tués par Ben Laden !

Ben Laden voulait la mort de Massoud, ce patriote qui refusait la présence d’Arabes sur le sol afghan, et l’a obtenu en envoyant un kamikaze doté d’une ceinture piégée déguisée en batteries de caméras. Les Etats-Unis, alliés du Pakistan, n’y auraient pas vu de problème. Ben Laden savait donc que tuer Massoud ne déclencherait pas d’invasion de l’Afghanistan par les Etats-Unis. Rien ne prouve, comme l’affirme Michael Barry – dont les origines et le discours lui pemettent de faire partie du système médiatique – qu’il aurait souhaité une telle invasion, lui qui voulait bouter les américains hors d’Arabie Séoudite. La quasi-coïncidence des dates entre la mort de Massoud et le 11 septembre ne signifie peut-être rien. Sinon que Massoud, qui n’était pas connu pour une quelconque marque de solidarité envers les Palestiniens, a été victime des pressions ou de la propagande anti-Ben Laden qui s’est accrue à partir d’octobre 2000, au début de la "7e guerre d’Israël", dite aussi "seconde Intifida", et après l’attentat contre le navire USS Cole le 12 octobre 2000 au Yémen, un pays assez pro-palestinien.

Honte aux spécialistes médiatiques en contorsions stratégiques qui nous bombardent de bobards consternants avec l’aval de l’industrie de l’armement et de ses réseaux d’influences médiatiques ! Tous en stage de formation à l’intelligence critique ou de rééducation punitive !

Honte à Israël et aux Etats-Unis, colonies carnivores qui pratiquent les crimes de guerre et la répression collective !

Honte aux citoyens israéliens, britanniques et américains qui votent pour des chefs de guerres qui nous répugnent !

Mettons fin au cauchemar !

Sommaire de la note :

Derniers échos : lorsque les médias sont au fond du gouffre, leur brouhaha devient inaudible.

T’es au lit ducon collabo !

Contradiction dans les chiffres.

De prétendus pirates furent bien retrouvés vivants, même s’ils étaient en définitive moins nombreux qu’on ne l’a dit dans les gros médias.

L’étrange disparition du vol 93 au-dessous d’un petit coucou

Le film "Vol 93" : percer la toile de l’ignorance.

Lire entre les lignes de la chronologie

Dans quelle mesure le Mossad ou une branche extrêmiste du Mossad furent-ils impliqués ?

Ne nous a-t-on pas joué des tours ?

Trois petits tours d’espionnage et puis s’en vont

Tour d’horizon des victimes israéliennes du 11/9

Le tour d’Ezra.

Atta et ses curieux tours de langage

Experts, ne tournez-vous pas autour du pot ?

« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques » (Jean Jaurès).

Le mensonge brumeux et triomphant ne passera pas par nous ! Nous ne ploierons pas l’échine et nous ne retournerons pas notre veste !

Derniers échos : lorsque les médias sont au fond du gouffre, leur brouaha devient inaudible.

— Le 29 août 2006, Arte présente deux documentaires présentés sous le thème général de : "kamikazes : la fausse route vers le paradis". Le titre sonne comme si on avait lu mon blog. Hélas, le but était de nous embrigader dans des hypothèses qui relèvent plus de la psychologie la plus fumeuse que d’une reconstitution matérielle digne de ce nom. Le premier, de Valentin Thurn avec la collaboration de Stephan Muller, traite du parcours de Zacarias Moussaoui. Faute de connaître la source de toutes les informations et de les renverser une à une, on peut néanmoins donner d’autres interprétations à ce qui est présenter. Vraisemblablement, et nous ne l’avons pas seulement appris lors de ce reportage, depuis un certain moment, les proches de Ben Laden prenaient notre rebelle pour un turbulent, voire un provocateur, lorsqu’il avait fait acheter inutilement des explosifs à des camarades malais. Ben Laden aurait dit aussi qu’il n’avait rien à voir avec l’opération du 11 septembre, organisé par le cheikh avec 19 autres pirates, mais ce message est sans doute le fait d’un imitateur. Il paraît donc étonnant que Ramzi Binalshib lui ait envoyé 30 000 dollars, longtemps après cette affaire, pour se former au pilotage à la Pan Am School. Hypothèse : il a dû avoir affaire à un faux Binalshib, comme sans doute le journaliste d’Al Jazeera Yosri Fouda. Et si la personne qui lui avait envoyé les 30 000 dollars (ou 14 000 ailleurs) n’était pas Binaslshib, comme on est censé le croire, mais Ahad Sabet, le nom qui était noté dans son carnet de notes, et qu’on nous assure être un pseudonyme de Binalshib ? Le vrai Binalshib est, hélas, enfermé ou mort, et devenu soudainement invisible pour tous, comme si on voulait empêcher les détenus pour complicité de terrorime de le confondre en place publique comme un imposteur.

Le second documentaire, sur les attentats de Londes du 7 juillet 2005, était réalisé par Alicky Sussman, produit par Libby Turner, édité par Andrew Cohen, avec dans l’équipe de recherche Catherine Wyler, Tricia Power et Emma Bolton. Les principales failles de ce documentaire consistaient en l’absence d’images des endroits détruits (de simples vitres partiellement cassées peuvent être le fait, non pas de bombes, mais de passagers les détruisant pour faire entrer de l’air, comme on peut le lire dans le Guardian), et en l’absence d’images prouvant la présence des suspects dans le métro ultra-surveillé de Londres, notamment à King’s Cross ou ils étaient supposés aller. Que le dernier "kamikaze" ait appelé ses camarades une fois sorti d’un métro qui n’avançait pas, ne signifie pas forcément qu’il hésitait, mais simplement qu’il s’inquiétait pour eux à la nouvelle des attentats. D’ailleurs, le même, une fois dans le bus, aurait fouillé nerveusement dans son sac. Son colis était sans doute devenu impossible à ouvrir. Les précédents voyages en commun des compères ne veulent pas dire qu’ils répétaient l’opération – et d’ailleurs à quoi bon le faire ? On peut supposer avec plus de probabilités qu’ils se livraient à un petit business depuis un certain temps, de parfum ou de livraison d’électro-ménager, comme on l’a lu, et qu’ils ont été piégés. Peut-être pas tous, puisque certains furent identifiés, puisqu’on identifia leurs cartes d’identités, et puisqu’on retrouva les papiers d’identité de l’un d’eux à deux stations différentes, c’est-à-dire dans un endroit où il n’était pas et où on un membre des équipes de sécurité a déposé sa carte après l’explosion d’une bombe préinstallée "sous le wagon", comme l’avait déterminé Mark Honigsbaum. Il aura suffi de piéger deux paquets et de mettre une bombe dans deux autres trains.

Bref, les pseudo-journalistes dont Arte diffuse les documensonges sont incapables de voir plus loin que la moyenne, et de recoller les éléments donnés par certains chercheurs interrogés avec le reste du tableau.

— Le 28 août 2006, le Département d’Etat a publié une page prenant le contre-pied des dix plus célèbres théories conspirationnistes sur le 119. http://usinfo.state.gov/xarchives/display.html?p=pubs-english&y=2006&m=August&x=20060828133846esnamfuaK0.2676355. Les sources vérifiables sont encore plus minces que lors des précédentes pages, et les affirmations sont encore plus gratuites voir ridicules. Ils radotent. Boeing affirmerait qu’on ne peut pas contrôler un avion à distance, que les avions sont faits pour être pilotés depuis le cockpit. Mais Meyssan et d’autres envisagent l’installation d’un programme de type Global Hawk avant tout décollage... Des témoins auraient vu des passagers aux fenêtres de l’avion au Pentagone. Mais la liste ne nous permet de retenir que le "témoignage" de James Cissell, tandis qu’un autre témoin, Mr. Lagasse, ne se souvient que les fenêtres et des rideaux baissés, mais apparemment pas de passagers visibles (http://usinfo.state.gov/media/Archive/2005/Jun/28-581634.html). D’ailleurs, la lecture attentive du témoignage de Mr. Cissell montre qu’il n’a vu que l’apparence confuse d’un avion (blur), qu’il n’a pas gardé souvenir du moindre son (cause lisible : sa radio était allumée), et qu’il ne fait peut-être que revenir sur des impressions qu’il décrit plus haut comme surréalistes, assimilables, tant il était sous le choc, à une expérience de passage de vie à trépas : ce n’est qu’alors – mais on ne sait trop quand – que lui serait venue (par imagination?) la vision de passagers aux fenêtres (http://www.cincypost.com/attack/cissel091201.html). Et, de toute façon, sur l’Interstate 110 (qui est du côté opposé au lieu du crash, voir http://www.globalsecurity.org/military/facility/pentagon_004.htm et http://www.earth-citizens.net/pages-fr/tra-appr.html) il était bien trop loin pour voir l’avion d’assez près, pour peu qu’il ait même pu le voir au-dessus du Pentagone (http://www.911-strike.com/eyewitness_fantasy.htm). Son imagination paraît d’autant plus développée qu’il aurait vu voler une jante de roue d’avion, alors que le train d’atterissage n’était, selon toute vraisemblance, pas sorties. Bref, quelqu’un qui fait trop l’intéressant… Mauvaise pioche, messieurs les responsables du bureau international des informations des Affaires Etrangères !

Par ailleurs, on attend toujours de connaître le nom de cette newsletter qui avait préconisé par fax le 9 septembre de spéculer sur American Airlines (la note 130 de la section 5 du rapport officiel ne la nomme pas). Et l’on tombe de haut en lisant l’argument qu’en plaçant les explosifs, les démolisseurs imaginés par les conspirationnistes auraient pris beaucoup de temps à vouloir couper, non seulement les murs, mais aussi l’isolation, la plomberie et les câbles électriques, ce qui, au bout du compte, se serait fait remarquer !

En revanche, sur les causes de l’effondrement du WTC, il nous est conseillé de lire une récente étude d’un spécialiste des implosions. Il était temps que l’on nous éclaire sur certains points cruciaux. Et cette étude mérite effectivement que l’on en prenne connaissance attentivement : http://www.implosionworld.com/WTC%20COLLAPSE%20STUDY%20BBlanchard%208-8-06.pdf.

(A critical Analysis of the Collapse of the WTC Towers 1, 2, & 7 From an Explosives and Conventionnal Demolition Industry Viewpoint, de Brent Blanchard, et quelques uns de ses employés, Earl Gardner, Gary Mcgeever, Michael Golden et John Golden, August 8, 2006).

Avant de commenter certains passages, notons d’emblée que l’auteur est en contradiction flagrante avec le site dont il est le rédacteur en chef.

Selon lui, l’expression "to pull" a building (utilisée sous la forme ambiguë de "pull it" par Larry Silverstein, le propriétaire des tours depuis juin 2001) signifie seulement abattre sur le côté un bâtiment déjà affaibli à l’aide de câbles tirés de part et d’autre par des buldozers et des excavateurs. D’abord, un simple dictionnaire reconnaît qu’une maison non forcément en ruine, peut être "pull down", c’est-à-dire démolie. Ensuite, citons ce passage de son site où il est clairement question de bombes en relation avec l’expression pull away (retirer) : "Dans l’industrie de la démolition, un blaster [responsable de démolition] essaie en général de pull [en italique sur le site : éloigner et détruire en même temps ?] une structure loin des expositions [des bâtiments] contigus et vers un endroit suffisamment grand pour contenir les débris. Par conséquent le seul moment où un building est véritablement "implosé" est quand les expositions (c’est-à-dire les autres structures ou zones concernées) l’entourent complètement. Quand telle est la situation, le blaster n’a pas d’autre choix ; il doit faire en sorte que le building s’effondre sur lui-même. C’est de loin l’opération de démolition par explosifs la plus déliquate, et seule une poignée de compagnies de destruction de par le monde possèdent l’expérience suffisante – et l’assurane – pour réaliser ces véritables implosions de building" (http://implosionworld.com/dyk2.html).

Citons aussi ce passage qui a trait aux nouvelles techniques de démolition apparues dans les années soixante. L’opération de tirage par câble semble se produire en même temps que la démolition par explosif, qu’elle accompagne et doit peut-être aussi précéder : "Progressivement, ils développèrent des techniques pour accroître l’efficacité des charges explosives, par exemple en pré-coupant les poutres en acier et en attachant des câbles à certaines colonnes pour tirer [pull] une structure dans une direction donnée" (http://www.implosionworld.com/history3.htm).

A dire vrai, Mr. Blanchard semble vouloir protéger le propriétaire dans un autre passage. La décision de faire démolir ce bâtiment aurait eu trop de répercussions en matière de sécurité. Normalement, dit-il, le commandement et le contrôle d’un disastre ne sont pas prises par une troisième partie. Pourtant, Mr. Silverstein dit avoir discuté avec les pompiers. Il n’a pas agit seul, même s’il fallait faire vite. Et on ne peut pas affirmer vaguement que cela aurait été prendre des risques, si, comme le dit le propriétaire en tentant de s’expliquer sur la signification du mot pull, le bâtiment a été évacué précisément pour éviter plus de pertes, et de crainte qu’il ne s’effondre. Les accès étaient donc verrouillés, et, d’ailleurs, personne n’est mort dans ou près de cet immeuble lors de son effondrement.

A vrai dire, on ne peut imaginer Silverstein avouer avoir démoli ce bâtiment. Mais il aura certainement donné l’ordre d’arrêter de lutter contre les flammes, et ce vers 11h30, soit six heures durant, comme l’écrit bien Mr. Blanchard. Les flammes qui se sont rpandues auront donc permis de couvrir une démolition contrôlée avec des bombes placées à l’avance dans le cœur du building.

Là où Mr. Blanchard pêche par manque d’imgination est lorsqu’il estime que les démolisseurs auraient dû aussi poser des bombes sur les murs extérieurs, à travers l’isolation, la plomberie et les câbles électriques, ce qui se serait vu et aurait nécessité une longue préparation. Mais à nos yeux, des bombes placées au préalable dans le cœur des tours auraient suffi à faire s’effondrer l’ensemble, une fois les murs extérieurs chargés de répartir le poids ravagés par chaque crash et par l’incendie.

Derrière une affirmation générale, il ne nous cite pas non plus de précédent où un building se serait effondré à la suite d’un simple incendie. Ces précédents auraient été nombreux… Mais où et quand ?

De plus, il ne conteste ni n’explique le fait que des températures extrêmement élevées ont été mesurées des semaines après l’effondrement. Il dit simplement que les photos qu’il a vues ne permettent pas de prouver des températures capables de faire fondre de l’acier. Et emploie l’argument bizarre que des appareils d’excavation auraient brûlé au contact d’acier fondu. En fait, on ne voit pas pourquoi les nettoyeurs auraient commis cette erreur, et il s’agit simplement, en l’occurrence, de peser le témoignage de personnes ayant vu des traces de métal fondu refroidi.

Ces affirmations gratuites et serviles nous fournissent donc le prétexte et le droit de contrer Mr. Blanchard là où il semble marquer des points sur un plan technique. Il nous affirme qu’aucun sismographe portable utilisé par de nombreux employés de démolition travaillant à Manhattan n’ont enregistré la moindre vibration secondaire en dehors des effondrements. Selon lui, des bombes attachées à des poutres auraient été détectées tout en bas. Mais si ces explosions étaient du type fusionnelle, comme le thermite, un composé qui s’allume s’il est exposé à des flammes et sans détonateur (comme le rapporte Mr. Blanchard) ? Combine de temps le thermite met-il à remplir sont rôle de fusion de l’acier ? Et si les étages fragilisés par ces bombes étaient trop élevés pour distinguer, depuis le sol, le déclenchement des bombes du début de l’effondrement ? Ces bombes (une douzaine par étage selon lui) n’auraient pas survécu au crash des avions et à l’incendie, et auraient brûlé sous la chaleur. Et si elles avaient été protégées par d’innombrables produits anti-incendie ? Et si elles n’avaient étaient posées que sur la tour Nord, au-dessus de l’impact, puisque tout son sommet semble s’effondrer d’un coup le long de tous les étages supérieurs ? Reste à savoir ensuite ce qui aurait empêché ces explosifs classiques de se détacher des poutrelles surchauffées…

En fait, on voit que Mr. Blanchard ne distingue pas assez chaque événement. Admettons l’effondrement sur le côté et sur elle-même de la tour Sud suite à un incendie et à la fragilisation de sa structure extérieure. Cela pourrait s’expliquer parce qu’une tour de ce type n’est pas monolithique selon Mr. Blanchard. Elle s’effondrerra donc d’abord sur elle-même puis sur le coté. Soit. Mais si du thermite avait été allumé du côté où la tour a été touchée ? Et surtout, que penser de l’effondrement, postérieur, de la tour Nord, la première frappée ? Peut-être que les conspirateurs avaient prévu de ne faire s’écrouler qu’une des tours jumelles ?

«Mon dossier légal prouvera immédiatement la culpabilité de Dick Cheney, Donald Rumsfeld, George W. Bush, General Myers, dans une cour de justice selon des preuves qui ne sont pas scientifiques en nature, je n’ai pas besoin d’aller jusque là, c’est un attrape-nigaud lorsque l’on se penche sur le crime qui a été commis contre ce pays. Nous avons déjà prouvé qui l’a fait, le comment n’a pas à être complètement étoffé... (…)Ces discussions sur ce qui a pu entraîné l’[effondrement des tours] est une campagne d’opérations pscyhologiques importante destinée à empêcher les américains d’examiner les preuves de culpabilité».

Michael Ruppert, February 14, 2005, interview on KZYX, "The Party’s Over" (http://www.oilempire.us/audio.html)

->C’est, à bien y regarder, l’inverse de la démarche historique et des procédures judiciaires…

Le raisonnement est le même que celui de Thierry Meyssan. Ils ont trouvé un coupable au vu de certains éléments, notamment au vu de qui cela a bénéficié. Et ils n’éprouvent plus le besoin de savoir davantage comment le crime s’est produit et par qui concrètement ! Sont-ce là de véritables enquêtes ? D’autant que l’argument principal distillé à Mr. Meyssan est maintenant discrédité. Il serait intéressant de savoir qui l’a informé de la thèse du missile et de l’interview de Donalde Rumsfeld où il est question de missile. Etait-ce une opération de désorientation commise par les vrais criminels, lesquels savaient de quel avion il s’agissait, savaient que l’administration américaine ne pourrait déterminer l’origine de l’avion, et ont voulu mettre les sceptiques sur une mauvaise piste ? La phrase de Rumsfeld, qui reçoit toutes les attentions alors qu’elle n’a rien d’énorme, est même retournée dans l’autre sens. : ceux qui ne croient pas à la thèse du missile pensent que ce sont des militaires américains car selon eux, l’admission, par Rumsfeld, qu’un "missile" aurait percuté le Pentagone serait une preuve de diversion de la part de ce dernier... Alors même que cela attire tous les regards vers lui (l’argumentaire, difficile à suivre, de Mark Robinowitz est à lire sur http://www.oilempire.us/state.html#rumsfeld) ! Rappelons, à ce sujet, que le sens de missile en anglais est varié, et que, Mr. Rumsfeld parle juste avant d’un avion d’American Airlines !

Mais pour revenir aux buildings effondrés, il est fortement dommageable que Mr. Ruppert exclut toute enquête permettant de déterminer quand et comment ont pu y être introduites des bombes… Ses contacts pourraient à bon droit lui servir … Le témoignage de Scott Forbes laissant croire qu’il a pu y avoir des problèmes de sécurité dans la tour Sud le week-end précédent, alors qu’il travaillait dans un service de technologie informatique pour Fiduciary Trust, ne paraît pas suffisant... (Lui-même affirme que des gardes surveillaient bel et bien les allées et venues en bas du building - http://loosechange.markblu.net/060227_-_Scott_Forbes_-_Deadline_Live.mp3 -, et, en l’absence de témoignages supplémentaires, seule son entreprise semble avoir été affectée par une coupure de courant le week-end du 8 et du 9 septembre. En effet, immobiliser la moitié supérieure de la tour pour y effectuer de nouveaux branchements paraît mettre la charue avant les bœufs puisque, selon Mr. Forbes, il n’y avait jamais eu de coupures dans ce bâtiment, ce qui laisse supposer que la partie inférieure n’avait pas subi d’opérations de rebranchement. Par ailleurs, couper l’électricité aussi longtemps à l’intérieur d’une dizaine d’étages aurait créé trop de problèmes de sécurité à différentes grosses entreprises. La solution choisie aurait été une installation de nouveaux câbles parallèlement à l’ancien réseau et une reconnection rapide du courant. http://911myths.com/html/wtc_power_down.html)

Abandonnons maintenant cet élément de l’enquête. Celui-ci ne devrait pas nous conduire hâtivement à tirer une conclusion générale. L’explosion par démolition contrôlée n’est pas à écarter. Surtout pour la tour Nord, c’est-à-dire pas celle où se trouvait Mr. Forbes. Elle a pu être préparée discrètement et les bombes tranchantes ou les matières fusionnantes ont pu être placées à des endroits stratégiques. Une démolition ne nécessite pas forcément des bombes très puissantes qui pulvérisent le béton, comme certains le prétendent en s’appuyant à des fins de persuasion sur les images des énormes poussières dégagées lors des effondrements (à nos yeux, le fait que des nuages de poussières soient expulsés à l’horizontale, vient de ce que les vitres explosent d’un coup, et pas forcément de démolitions puissantes classiques). Sur ce sujet de la démolition programmée, l’attitude de Michael Ruppert étonne. Est-il encore trop risqué de laisser supposer que des gens bien introduits ont voulu tuer des milliers de personnes ?

« Ainsi, quiconque a pris part au crime doit en payer le prix (...). L’ensemble du monde est un champ ouvert pour nous. Comme ils nous attaquent partout, on les attaquera aussi partout », aurait dit, étrangement menaçant, Zawahiri, porte-parole d’"""Al Qaïda""", après l’échec diplomatique des destructions terroristes israéliennes contre les libanais, destructions et démembrement en provinces prémédités depuis quelques années dans un texte du PNAC (lire http://membres.lycos.fr/wotraceafg/liban.htm), dans le projet A Clean Break, de 1996, mais aussi dès 1982 et 1948 (http://gmunier.blogspot.com/2006/08/le-hezbollah-rempart-contre-israel-la.html).

-> Malheureux lecteurs embarqués dans la folie terroriste la plus absurde et la plus mystérieuse qui ait été en occident, Irakiens qui subissez chaque jour une "nuit de crystal" en termes de morts, Palestiniens et Libanais en proie à la souffrance et à la désolation sous les bombes des brutes sionistes, on peut craindre de nouvelles tentatives de discréditation de la résistance musulmane. Notamment avant une autre réunion internationale, comme à Londres le 7 juillet 2005, comme à Bombay en Inde le 11 juillet 2006, ou les 11 septembre, octobre, ou novembre prochains. Des sortes d’avertissements ont déjà eu lieu : des gens dangereux commencent à ensanglanter la Thaïlande (trois morts et quatre blessés le 2 août 2006), à faire peur à l’Allemagne (voir les bombes découvertes dans des gares et des trains à Dortmund et à Coblence), à transporter des explosifs dans des avions (http://lesogres.info/article.php3?id_article=2398, article du réseau Kalki : "Un diplomate israélien arrêté [le 9 août] à l’aéroport de Buenos Aires avec une valise bourrée d’explosifs"), à jeter la suspicion sur de simples livreurs de pizza ou chauffeurs de taxis ivrognes britanniques venant de fonder une famille, qu’ils soient d’origine pakistanaise ou convertis (la télévision nous explique que les liquides explosifs, d’une forte densité, auraient de toute façon été détectés dans les aéroports, et les articles montrent que toutes les arrestations, au Pakistan et en Angleterre ont été coordonnées et demandées par les Américains, toutes ayant eu lieu le mercredi, si bien que l’on ne saurait dire qu’une arrestation effectuée par errer au Pakistan aurait entraîné les arrestations en chaîne en Grande-Bretagne). On n’ose pas encore tuer grand monde. Sauf peut-être des Russes (voir l’accident du vol 612 en Ukraine, où les bombes à Marmaris en Turquie, un endroit fréquenté par des russes et des britanniques). Les Russes doivent être domptés, eux qui sont nourris de l’esprit chrétien, de l’idéal révolutionnaire, de l'image du reproche incarné d'un fameux héros de Dostoievsky, et des chansons de Vissotsky qui dit tout haut ce qu’il "n’aime pas" (notamment le cynisme froid et les choses faites à moitié) . Le bain de sang terroriste ne se répand plus autant en Europe. Cette victoire doit-elle être portée au crédit des sceptiques ou à la bassesse de nos gouvernements ? Les sceptiques ont en tout cas marqué des points considérables contre les vrais terroristes, qu’il faut imaginer straussiens et psychotiques et pensant souder ou électriser les masses par une bonne guerre factice. Manipulateurs occultes ! Voyez, face à vos crimes, comme les populations sont douées de vigilance, de force d’indignation, de cohésion sociale, et méritent votre respect ! Voyez comme les peuples meurtris déploient leurs meilleurs moyens pour lutter contre l’infâme et le débusquer jusque dans ses cabinets secrets !

T’es au lit ducon collabo !

Attentistes : ne misez pas sur la jeunesse pour rejoindre l’armée atlantiste !

Pendant que vous collaborez piteusement avec le dominant du moment, les honnêtes gens et les jeunes épris d’idéal ont uni leus forces ! Des gens recopient les modestes interrogations des sceptiques qui viennent des Etats-Unis. Les articulets commis par la branche norvégienne du Monde diplomatique, et les quelques traductions à venir par les éditions Demilune promettent beaucoup pour la rentrée de septembre, bien qu’elles ne nous paraissent pas apporter de grandes avancées. Il faut peut-être du temps pour enquêter. Et il est vrai qu’une agression ou qu’un attentat en chasse d’autres. Comme si les immondes canailles propagandistes et les fauteurs de guerre ne pouvaient se défendre qu’en attaquant toujours aussi monstrueusement derrière les mêmes ignobles mensonges. Il n’empêche… Le monde médiatique assure le service minimum... L’extrême-gauche trotskyste et anarchiste – à la remorque de la maçonnerie ou pétrifiée de peur devant elle ? – se montre particulièrement rétive, crétine, muette et gênée, en public comme en privé. Capitule-t-elle devant quelque instance supérieure ? Il ne suffit pas de dire qu’on ne saura pas qui était derrière le 11-septembre ou constater qu’il y a une "Face cachée" du 11 septembre (Eric Laurent) ou une "histoire cachée" (selon l’éditeur newyorkais Zarembka). Admettons, comme ils le disent, que les journalistes du Monde Diplomatique ne se sentent pas assez experts en bâtiment, en aviation, en ballistique, en vidéo et en sécurité. Dans ce cas, que leur coûte-t-il d’aller interroger les experts en question ? Ils apprendraient par exemple de la bouche de David Shayler, ex-agent du MI5, que leur soupçons à l’égard d’une administration Bush tombe à l’eau. Laisser faire une attaque avec des avions ferait courrir un risque d’accident nucléaire contre une centrale. Il était inenvisageable, dans ces conditions, de ne pas contrôler l’opération de bout en bout… On notera que leurs proches camarades de http://counterpunch.org abordent la question et laissent apparaître des publicités pour des travaux originaux (http://911myths.com et un livre de James Ridgway) … Hélas, la presse progressiste américaine agit encore timidement… Mais qu’attendent donc les médias de gauche américains pour interroger le Pentagone sur la faillite de ses cinq batteries anti-missile? Qu’attendent-ils pour demander ce qu’est cette traînée derrière l’avion du Pentagone (a-t-il été touché par un missile ? un de ses moteurs a-t-il percuté un lampadaire ?) Qu’attendent-ils pour harceler le FBI sur ce qu’il a découvert et confisqué ? A quoi nous servent des récits d’aventure du FBI au Yémen qui n’aboutissent qu’à nous montrer que des islamistes locaux ne croyaient pas que Ben Laden était derrière le 11-9 ? Et, oui, selon un imam, il n’était pas si fou le mec (voir "How 9/11 was almost stopped" de Lawrence Wright, New Yorker, July 10 & 17, 2006) ! A voir http://news.google.fr, personne n’est non plus allé contreinterroger Rex Tomb sur le constat qu’il manque des preuves pour juger Ben Laden et le faire ainsi apparaître dans la liste des personnes recherchées pour ces attentats. Il avait déjà dit cela fin septembre 2001 et l’aurait répété en juin 2006 au site Muckracker Report.

Les réseaux de gauche en quête de grand soir quêtent-ils en définitive les mangeoirs ? Veulent-ils vraiment s’élever à la vérité ou préfèrent-ils s’illusionner sur le niveau de mal, de lâcheté et d’indifférence qui nous dirige ? Leur désir de se construire une carrière les conduit-il à faire descendre cette horrible vérité au niveau du consensus le plus large ? On se contente de fustiger le complexe militaro-industriel. Pouquoi pas, mais l’accusation reste vague et la chose n’est plus si inconfortable puisque et que la brèche a été ouverte d’une manière retentissante par Thierry Meyssan, et, dans le cas de JFK, par Oliver Stone. Mais est-ce toucher la vérité ? La thèse d’Oliver Stone n’est-elle pas insuffisante ? Après tout, JFK avait autorisé l’assassinat de Castro à huit reprises avant sa mort. Donc, en haut-lieu, le complexe militaro-industriel savait que JFK suivait leurs directives.

Défions-nous des roublards ! Jusqu’à présent, une certaine gauche, remuante et gluante à la fois, car formatée aux a priori religieux et ethniques, avait besoin d’accréditer la thèse des musulmans fanatiques, et ce pour ne pas être trop en marge du pouvoir (médiatique et politique) ou pour mieux refaire les Arabes à son image. Puis sont venus des sondages exprimant la méfiance grandissante des peuples sur cette histoire. Et seuls ces sacro-saints "fiondages" ont eu raison d’un certain nombre de fesses qui tardaient à bouger, et ont convaincu notre gauche de l’utilité de modifier la forme de son combat, quelque peu timoré et intéressé, contre le système "fasciste" et "corrompu". Là où règnent les intérêts, la récupération du troupeau, l’esprit de revanche, la recherche de la petite bête, la culture de l’exécration, et les luttes pour le pouvoir, d’où qu’ils émanent, il ne reste qu’un salut : être fidèle à la vérité et se méfier des accusations précipitées.

Car on ne saura s’il est possible de faire descendre une certaine verité vers les cerveaux des consommateurs de presse qu’après avoir étudié, lu entre les lignes, feuilleté, refeuilleté le dossier, et procédé aux révisions déchirantes qui s’imposent immanquablement. Ce que nous allons tenter de faire pour la dernière fois ici après de récentes tentatives

(http://u-blog.net/neplusfairefausseroute/note/78 (A-t-on enfin vu l’avion du Pentagone ?)

http://u-blog.net/neplusfairefausseroute/note/72 (Videos vertigo à propos du 11 septembre)

http://u-blog.net/neplusfairefausseroute/note/62 (Dicton du jour : au 11 septembre, les journalistes feignants peuvent aller se faire pendre la langue)

Contradiction dans les chiffres.

http://archives.cnn.com/2001/US/09/11/worldtrade.crash/index.html

Sur CNN, le nombre de passagers est annoncé comme étant de 81 + 11 membres de l’équipage (=92) pour le premier avion, de 56 + 9 (=65) pour le deuxième, de 58 + 6 (=64) pour le troisième, et de 38+7 (=45) pour le quatrième.

Selon le FBI il y aurait eu 266 passagers au total.

Leur calcul est exact. Sans le personnel naviguant, cela nous fait 233 passagers.

Seulement, à voir la liste des passagers, on ne voit pas les noms des pirates. Or, on ne sait comment, quatre jours après les attaques, le New York Times pouvait dire qu’un certain Alomari était sur la liste des passagers (http://www.wanttoknow.info/010915nytimes). Et, on ne sait comment, trois jours seulement après les attaques, Robert Mueller était suffisamment confiant pour dire que la liste des pirates ne comportait pas d’alias (http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2001/09/23/widen23.xml). Il semble donc à première vue que c’est grâce à la liste des passagers que les pirates auraient été rapidement identifiés. Or ces listes originales n’ont jamais été divulguées. D’ailleurs, si l’on ajoute le nombre de pirates, le nombre de passagers devrait être plus élevé. Et s’ils ont finalement utilisé des pseudonymes ou volé le passeport d’autres personnes, on ne nous a toujours pas dit quelles identités ils auraient empruntés. S’ils ont pris la place d’autres personnes, il y aurait des familles à interroger sur les dernières heures de leurs proches. Les pirates auraient-ils assassiné des gens – même peut-être sans famille – pour voler et trafiquer leurs passeports ? Il serait intéressant de croiser la liste des passagers et les listes de passeports volés (puisqu’on sait par exemple que le passeport d’Abdulaziz Alomari a été dérobé en 1995 à Denver)

http://www.cnn.com/SPECIALS/2001/trade.center/victims/AA77.victims.html

De prétendus pirates furent bien retrouvés vivants, même s’ils étaient en définitive moins nombreux qu’on ne l’a dit dans les gros médias.

Ceux qui étaient chargés de les éliminer se sont probablement aperçus, mais un peu tard, que les boucs émissaires étaient sur le point de partir ou étaient partis avant de pouvoir être éliminés.

Beaucoup d’arabes portaient le même nom que les pirates, et certains clamèrent tout haut être bel et bien vivants. Mais la confusion régnait encore au mois de septembre 2001. Le FBI n’avait pas encore diffusé toutes les photos des pirates. Et, au bout d’un moment, celui-ci présenta des photos différentes des personnes retrouvées vivantes. Bien entendu, on ne saurait exclure que le FBI ait pensé à changer les photos quatre jours après les articles encombrants de la BBC et du Telegraph. Dans un autre cas, Walid al-Shri se serait cru accusé alors qu’il n’avait pas exactement le même nom que Walid al-Shari, selon le Spiegel qui a obtenu l’information de Royal Air Maroc (http://service.spiegel.de/cache/international/spiegel/0,1518,265160-2,00.html). Concernant Salem Al-Hazmi, l’âge du survivant et du pirate étaient différents de cinq années. Mais ces minces précisions ne suffisent pas. D’une manière générale, il serait intéressant de savoir si les premières informations du FBI correspondaient aux noms et aux dates de naissance des survivants.

Car, dans au moins deux cas, ceux d’ Abdulaziz Al Omari et Saeed Al-Ghamdi, les noms, origine, dates de naissance, voire occupation, étaient précisément ceux des survivants, selon une interview que ceux-ci donnèrent au Telegraph ! Ce genre de coïncidences est tout de même très étonnant n’est-il pas (http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2001/09/23/widen23.xml, "Revealed: the men with stolen identities", David Harrison, filed: 23/09/2001: "The Saudi Airlines pilot, Saeed Al-Ghamdi, 25, and Abdulaziz Al-Omari, an engineer from Riyadh, are furious that the hijackers' "personal details" - including name, place, date of birth and occupation - matched their own.") ? D’autant que les deux "survivants" n’étaient pas aux Etats-Unis durant les derniers mois : Al-Omari venait de terminer ses études l’an dernier, et Al-Ghamdi ne semble pas avoir été aux Etats-Unis – alors même que le New York Times notait qu’il avait le même nom qu’un ancien élève d’une école militaire, le Defense Language Institute de Presidio à Monterey, en Californie.) Entre parenthèses, un autre Al-Omari, d’abord considéré comme un suspect, mais nommé Abdul Rahman, et interrogé deux jours après, était parti des USA peu avant le 11 septembre, et quelques jours après sa famille, renvoyée deux semaines avant les attentats : http://www.wanttoknow.info/010915nytimes AFTER THE ATTACKS: MISSED CUES; "Saudi May Have Been Suspected in Error, Officials Say", By KEVIN SACK (NYT).

On aurait donc complètement trompé les autorités, et à plusieurs reprises !

Selon la commission Kean, dans le cas d’Al Omari, dont le nom et la date de naissance correspondaient, le gouvernement saoudien aurait, ensuite, réussi à retrouver la famille du vrai pirate. Quel hasard ! Le hasard se rencontre-t-il si souvent en politique ? Mais, pour Al-Ghamdi, il ne semble pas qu’on ait retrouvé la famille du vrai pirate au profil identique…

L’étrange disparition du vol 93 au-dessous d’un petit coucou

Y a-t-il eu tromperie ou substitution dans le cas du 4eme avion ?

La trajectoire du vol 93 est connue jusqu’au Sud de Cleveland. Mais ensuite, son transpondeur s’éteint et rien ne permet de prouver si c’est lui qui est allé jusqu’à Shanksville. La faible quantité de débris comme le ridicule du nuage consécutif à l’impact – nous avons en vue la queue du nuage – laissent d’abord penser qu’une bombe ou qu’un avion plus petit ont été précipités contre le sol.

Car si l’on compare la quantité de fumées que libère habituellement un avion après un crash (c’est-à-dire énormément, y compris sous la boule montante, voir http://www.youtube.com/watch?v=au9klj6YhKU&search=crash%20plane ou les images du crash récent du vol 612 en Ukraine)

On n peut que constater le caractère anormalement mince de la colonne photographiée sous la boule de fumée imputée au crash de l'UA 93 (http://www.utopiax.org/911/flight93_smoke.jpg , http://www.rense.com/1.imagesH/flight93.jpg).

Ce que révèlent ces images, plutôt que l’envoi d’une bombe (le nuage rond étant trop gros et trop noir pour cela), c’est qu’un missile a dû expulser une grande partie du carburant du UA 93, ce pourquoi il ne reste plus de carburant en train de se consumer après la chute.

Comme le retrace fort bien David Griffin (11 septembre, Omissions et manipulations de la commission d’enquête, pp.166-168) les traces que cet avion a été abattu sont tout simplement trop nombreuses, et l’on se rapprocherait fortement d’un tir de missile Sidewinder thermoguidé, lequel vise habituellement les moteurs : l’enregistrement de voix du cockpit se clôture par un bruit de vent ; un aiguilleur et un pilote se sont montrés indiscrets (le jour même un aiguilleur signalait qu’un F16 collait de près le vol UA 93, et, des mois plus tard, le pilote d’élite Daniel Nash signalait qu’une fois revenu à sa base, on l’informa que des F16 avaient abattu un 4e avion en Pennsylvannie) ; des gens ont aperçu un jet blanc voler à proximité de l’avion et ont entendu une ou deux explosions avant que l’avion ne s’écrase ; un moteur a été retrouvé "à une distance considérable " du lieu du crash (ou peut-être seulement à 274 mètres, 300 yards, et, autre nuance apportée à Griffin, ses citations au sujet de coups de fil mentionnant un bruit de vent ou une explosion suivie d’une fumée blanche sont déconstruits par recoupement sur http://911myths.com/html/explosion_and_smoke.html). Selon des journalistes du Spiegel des gens ont vu les débris d’un avion, mais apparemment, les enquêteurs et le maire de Shanksville, Ernie Stull n’ont vu QU’UN moteur – dans les buissons, selon le maire. http://service.spiegel.de/cache/international/spiegel/0,1518,265160-5,00.html

Le procès Moussaoui permet bien de voir des parties assez importantes d’avions, dont une avec des hublots (http://www.rcfp.org/moussaoui/index.php

http://www.rcfp.org/moussaoui/jpg/P200061-1.jpg), mais l’on ne nous montre pas de moteur (même pas celui retrouvé dans les buissons)

Au vu du tout ceci, il semble qu’un des moteurs ait tout simplement disparu. Sans doute saboté ou pulvérisé par un missile. Les ailes seraient, elles, restées en place, mais lune d’entre elle un peu tordue, à voir deux photos de l’empreinte de l’avion contre le sol (http://loosechange.markblu.net/UA%2093%20Impact%20Hole.jpg, http://www.team8plus.org/e107_plugins/forum/forum_viewtopic.php?196 http://hometown.aol.de/rkinet/assets/images/WDR_Krater.jpg). Lors du crash du vol 587 en novembre 2001, analysé par le NTSB, les deux moteurs s’étaient détachés quelques secondes avant l’impact, et avaient été retrouvés à une certaine distance. Faute de détail supplémentaire, il semble que les ailes soient aussi restées en place (http://www.ntsb.gov/Pressrel/2004/041026.htm). Quelle raison explique que les moteurs se détachent si souvent ?

Un brusque virage ? Mais les commandes sont faites pour éviter de tels virages. Peut-être s’agissait-il d’une bombe comme l’aurait signalé le pilote en s’adressant bizarrement aux passagers dans la seule retranscription retrouvée des communications aériennes. Pourtant, le pilote pensait pouvoir retourner à l’aéroport, et ajoutait qu’ "ils avaient satisfait à nos demandes" (les gens de l’aéroport, peut-être…, source : http://www.physics911.ca/Air_Traffic_Control_Recording_of_9/11_Flight_93). Bien entendu, la façon dont une bombe aurait été acheminée à bord et finalement déclenchée fait porter de sérieux doutes sur la compagnie qui gérait la sécurité à l’aéroport de Newark…Néanmoins, une bombe embarquée à bord par des passagers n’aurait pas fait éclater un moteur sans endommager au moins une aile.

Les causes restantes sont donc soit celle du tir de missile, par derrière, en plein sur un moteur et sous l’aile, soit celle du sabotage préalable d’un moteur. Un moteur en feu, cela se détache, comme avec le vol d’El Al 1862 écrasé à Amsterdam en 1992. Dans ce cas, deux moteurs s’étaient détachés 10 km avant l’impact. Deux moteurs à la fois, comme avec le vol 587 au-dessus de New York… En 1992, on nous a dit que l’incendie du premier moteur s’était propagé au second, chose qui n’arrive qu’une fois sur un million (http://www.humanite.presse.fr/popup_print.php3?id_article=661739) !

Sans doute qu’avec le vol 93, le sabotage du deuxième moteur n’était pas envisagé…

Deux moteurs qui brûlent en même temps sur deux avions à deux mois d’intervalle, cela aurait fait beaucoup…

Certes, le crash de novembre n’était peut-être pas prévu. En tout cas, il aura réussi à détourner l’attention de l’enquête sur le 9/11, comme les attaques à l’anthrax contre de hautes personnalités auront détourné toute l’énergie du FBI, sur ordre du président Bush, et comme les attentats manqués de Londres auront détourné de l’enquête du 7 juillet. Il semble que les lettres à l’anthrax aient pu être l’œuvre d’un islamophobe employé par la firme de Rumsfeld, Gilead, un dénommé Philip Zack.

On peut conclure provisoirement de tout cela qu’il n’y a pas eu de chute intacte du vol 93 suite à une rixe dans le cockpit ou à une décision suicidaire des pirates. Seul un incident exceptionnel explique la disparition d’un des moteurs et la perte de carburant avant la chute.

Pour les naïfs qui tenteraient de s’en remettre aux enquêteurs officiels, rappelons que dans le cas du vol 93, le NTSB n’a toujours pas donné ne serait-ce qu’une cause probable à la destruction de cet avion – comme d’ailleurs à celle des trois autres. Il ne communique pas non plus son intention de le faire, puisque tout matériau pouvant servir à l’enquête reste toujours sous le contrôle du FBI (http://www.ntsb.gov/ntsb/major.asp)…

Le film "Vol 93" : percer la toile de l’ignorance.

On est bien obligé d’oublier une partie du film United 93, réalisé et écrit par Paul Greengreass et produit par Tim Bevan, Eric Fellner, Lloyd Levin, Michael Bronner, Liza Chasin et Debra Hayward.

La réalité n’est pas aussi cohérente qu’on cru le voir les spectateurs. La trame d’une implication islamiste s’efface bel et bien devant l’accumulation des failles de la version officielle, décelables dans le film lui-meme. Nous les énumérons ici :

1) les pilotes ouvrent la porte du cockpit après quatre coups de l’hôtesse contre celle-ci, trois rapides suivis d’un dernier plus tard. Au moment de la prise d’otage, on ne voit pas comment elle ouvre. Question : le pilote ne regarde-t-il pas normalement par le regard si tout se passe bien et si les personnes qui veulent rentrer sont bien l’hôtesse et de gentils enfants ? N’aurait-il pas dû empêcher toute intrusion une fois alerté des risques d’intrusion ? Dans le film ont le voit pourtant bien demander confirmation de ces risques deux minutes avant la supposée prise d’assaut… Au demeurant, les hôtesses rentrent-elles souvent dans les cockpit ? Il semble que non puisque la seule parade qui fut annoncée après le 11 septembre consistait à renforcer l’épaisseur des portes… et non à interdire, dorénavant, l’entrée des stewart, hôtesses, et jeunes passagers. Les portes n’étant pas faites de carton pâte, si les pirates avaient utilisé des chariots comme bélier, plusieurs chocs auraient été nécessaires, et les pilotes auraient eu le temps d’activer les codes de détournement.

2) Le film reconstruit la réalité : on ne nous montre qu’une personne appeler avec son téléphone portable. A l’origine, il n’a pas été dit que les gens avaient en majorité appelé depuis des téléphones encastrés. Mais même si c’était le cas, on aurait retrouvé des factures, chose qui n’a pas subsisté d’après MM. Meyssan et Von Bulow.

3) L’appel à Jack est plus dramatique que dans la réalité. Dans le film, sa compagne pleure et dit : "je veux juste te dire que je t’aime plus que tout". Le temps a dû faire son office et Mr. Grandcolas, consulté par les réalisateurs, est peut-être devenu grandiloquent…

4) Les modifications de trajectoire sont mal expliquées. On peine à comprendre pourquoi l’aiguilleur aurait demandé au vol AA11 de virer de 20° vers la droite. Il n’y avait rien à éviter ni à repérer. Ou alors des avions militaires qu’on nous cache ? Ensuite, si les aiguilleurs ont vraiment demandé au vol 175 de visualiser le prétendu vol AA 11, ce qu’il était peut-être en effet bien placé pour le faire, puisqu’il était à l’Ouest de New York à ce moment-là (voir http://www.usatoday.com/graphics/news/gra/gflightpath2/frame.htm), il aurait dû virer encore plus à l’Est, et pas seulement au Sud. De plus, en volant si longtemps vers le Sud, il s’écartait considérablement de sa route, et plus longtemps qu’il n’était besoin. Il aurait donc dû être relayé par un autre vol. Ces explications a posteriori semblent dissimuler des tests de détournements électroniques. Car des pirates de l’air n’ayant pas de ocmplices dans l’armée US n’auraient pas perdu du temps à effectuer de tels détours.

5) Il est demandé au vol 93 de maintenir son altitude à ""350". Etait-il en train de descendre alors qu’il n’aurait pas dû ? Pourquoi ? Parce que les pilotes ont lâché un moment les commandes ou parce qu’il se déroulait un détournement électronique ?

6) On nous parle rapidement d’exercices du NORAD, chose également tout juste admise dans une seule note du apport de la commission officielle comme ayant d’ailleurs accélérer la réponse. Ce qui est intéressant est que dans le film, on voit la confusion que cela a pu engendrer. Et on nous montre des contrôleurs s’interrogeant sur le fait que tel appels étranges peuvent être de la "simulation" vu que les codes de détournement ne sont pas actionnés (7500) et que les avions ne transpondent plus. De même, "We have some planes" parait être tout bonnement "bidon". Bien entendu, la liaison n’est pas faite avec le déroulement des exercices. Veut-on encore cacher le rôle qu’ont pu jouer ces exercices dans l’échec de la réponse armée ? Bien sûr, avec le recul, les supposés exercices peuvent être une couverture pour dissimuler l’incompétence de l’armée et sa responsabilité dans la destrction du 4eme avion. Et peut-être est-ce pour celà que la commission, comme le film, n’insistent pas sur la question pour que personne ne vienne embarasser les militaires par un excès de questions qui entraîneraient trop de contradictions dans les réponses.

7) "Un petit avion se serait écrasé contre le World Trade Center". Un "avion léger", selon CNN. Que faisait-il là ? Quelle est la source de cette information ?

8) Le vol AA11 est peut-être sous les radars, s’interroge un contrôleur. De quel moment s’agit-il exactement ? En tout cas, cela dément la théorie officielle. Et des pirates peu aguerris n’auraient pas été capables de piloter ainsi des gros appareils.

9) Le vol UA 175 descend visiblement vers l’Est de 10 000 pieds / minute. "Il va s’écraser" s’exclame un aiguilleur. Une telle vitesse et une telle agilité ne trahissent-ils pas un guidage préréglé ?

10) L’écho primaire du vol 93 descendrait rapidement. C’est là une contradiction dans les termes car un écho primaire n’indique pas d’altitude. Cela doit servir à dissimuler le fait que l’avion a été abattu, ou piraté électroniquement à distance et que sa chute n’a pas dû etre visible.

11) Les pilotes du vol 93 ont été alertés par leur compagnie des risques d’intrusion dans le cockpit quatre minutes avant la prétendue prise d’otage. On peut donc penser qu’il est faux de prétendre qu’ils auraient laissé rentrer une hôtesse mnacée. L’hôtesse menacée aurait d’ailleurs sans doute grimacé ou cligné plusieurs fois de l’œil si elle avait été tenue en otage. Par conséquent, le pilote aurait eu le temps d’envoyer un signal d’alarme quelconque. Ce que personne n’a gardé en mémoire ni en enregistrement… Bizarre, vous avez dit bizarre ?

Lire entre les lignes de la chronologie

http://users.swing.be/muhammadcolumbo1/Scenario911_F.pps

Ce power point est intéressant. Prolongeons ses réflexions. En recoupant les données de la commision officielle (p.12 de ce diaporama) et les cartes (p.11, 27-31, avec le timing ajouté par Mr. Columbo) cela confirme en effet l’idée d’un détournement électronique par une petite équipe qui manœuvre un avion après l’autre, grâce au GPS. On peut même penser qu’ils ont volontairement voulu que la chasse américaine détruise des avions. Comme quoi il n’y a pas de crime parfait qui ne finisse par être démonté !

8h14 le vol AA11 dévie vers le Nord. Selon la commission la prise du cockpit aurait eu lieu à ce moment. Selon le film United 93, l’aiguilleur demande, on ne sait pourquoi, à l’avion de tourner de 20°. Mais peut-être que des produits toxiques sont expulsés par le système monté à bord ou par un passager qui aurait eu la confiance des pilotes. Hypothèse de Mr. Columbo, à 8h14, on teste le système GPS de guidage à distance.

8h21, le transpondeur est éteint.

8h25, l’avion, rendu non identifiable pour les radars civils, dévie sa course vers le Sud.

8h34 (à vue de nez) : les détourneurs s’entraînent à dévier la course d’un deuxième avion (qui sera en fait le troisième projectile) : le vol AA 77, volant plein Ouest, fait une large boucle ou une légère déviation vers le Nord, comme avec le premier avion. Veut-on attirer la chasse aérienne vers lui ? Le remet-on temporairement vers sa direction le temps de surveiller le premier avion qui s’approche des Twin ?

8h42. Le futur deuxième avion-bombe (le vol Ua 175) est dévié vers le Sud.

La commission officielle dit que c’est à ce moment que le contact radio est perdu. Qui est aux commandes ? Un pilote kamikaze qui avait la confiance des pilotes ?

8h46:40s, le premier avion s’écrase.

8h47. Juste après, le code du transpondeur identifiant le deuxième avion change ! Pour l’identifier comme avion ami ?

8h50, ce deuxième avion remonte soudainement vers le Nord et est dirigé vers le centre de New York.

Les coordonnées de la tour Sud ont dû être rentrées dans la mémoire.

8h51, juste après, c’est, croit-on, le début des incidents à abord du troisième avion, le vol AA77. Les pirates électroniques recommencent-ils leurs manœuvres ?

A 8h54, celui-ci vire vers le Sud.

A 8h56 (ou 8h55 ou 8h57 selon les sources), son transpondeur est coupé. Que s’est-il passé ? A-t-il été détruit contre le sol comme certains aiguilleurs le supposaient ? Le dirige-t-on vers le Pentagone ?

Pendant ce temps là, à 9h03, le deuxième avion s’est écrasé comme prévu par le pilotage automatique programmé à son bord quelques minutes plus tôt. On a pu le surveiller durant les dernières minutes pour programmer sa destination finale. Une fois la chose faite,

A 9h28, la commission considère qu’un quatrième avion est "pris d’assaut", bien qu’on ne sache pas si ses renseignements soient fondés.

Cet avion, le UA 93, change de route à 9h35, d’après une carte.

A 9h38 a lieu le crash du "troisième avion". Celui-ci est resté indétectable sur son trajet de retour pendant 41 à 43 minutes. Ce trajet de retour est plus long en durée qu’à l’aller, bien que la distance soit identique (p.33, le rapport officiel est le seul à montrer une trajectoire plus longue). Cela trahit-il une substitution ? Pas forcément, peut-être cela cache-t-il des déviations de trajectoires sous d’autres avions pour brouiller la surveillance aérienne. Mais beaucoup d’éléments plaient pour la destruction d’un autre avion qu’un 757, un 737 vide dont on refuse de nous montrer les images. D’où venait ce 737 ? A-t-il décollé non loin du Pentagone ? N’est-il pas étonnant que les secours aient trouvé les boîtes noires que trois jours après t pourtant très près de l’entrée du Pentagone (http://www.usatoday.com/graphics/news/gra/gpentagondetail/frame.htm http://www.usatoday.com/graphics/news/gra/gpentagon/frame.htm)?

Le quatrième avion change de direction vers 9h35, 9h37, 9h40 ou 9h41 (cette dernière est celle retenue par la commission). Cette dernière heure aura la préférence de ceux qui plaident pour un guidage en direct de l’avion écrasé au Pentagone, peu avant. Toutefois, si le vol du Pentagone a été piloté grace à un programme de type guidage missile, on n’avait pas pour autant besoin d’une intervention humaine durant les dernières minutes, et on aurait tout aussi bien pu détourner un 4e avion, par exemple pour alerter la chasse aérienne plus longtemps avant.

Mr. Columbo considère que le vol AA 77 a été remplacé par un autre avion, un 737 équipé avec un système de guidage plus précis pour l’altitude. Ce système, fixé à l’extérieur de l’avion aurait en effet été impossible à camoufler lors d’un départ normal avec passagers. C’est ce type d’avion, plus petit qu’un 757, que le Pentagone et le FBI veulent cacher au grand public. Il ne nous paraît pas impossible de penser que le gouvernement, après avoir abattu par erreur le vol 77, aurait envoyé un avion vide sur une aile quasiment vide du Pentagone. Mais il se peut aussi que les autorités, ne sachant pas d’où venait ce 737, auront cru qu’il s’agissait du vol 77, précipité contre le sol auparavant. Les détourneurs auraient donc détruit cinq avions, et le gouvernement n’aurait été en mesure d’en reconnaître que quatre. Aux yeux des agents de communication de la maison Blanche, revenir sur cette erreur provoquerait certainement un énorme tumulte.

Dans quelle mesure le Mossad ou une branche extrêmiste du Mossad furent-ils impliqués ?

(certes, les hommes des cavernes qui ont accusé Al-Qaïda ne s’embarrassaient pas de subtilités jusqu’à parler de branche extrêmiste d’Al Qaïda, mais ce n’est pas une raison pour ne pas en faire, car tous les agents ici présents du Mossad, aussi soudés fussent-ils, n’étaient pas forcément tous épris d’un instinct de survie tel qu’ils étaient prêts à tuer d’autres juifs pour assurer la survie d’Israël, un Etat qui montre bien les ravages de l’exceptionnalisme, en l’occurrence le sentiment d’être au-dessus du droit international)

Cette piste, mentionnée par Ben Laden à côté des pistes russe, serbe et indienne, est soigneusement évitée par la gauche anti-impérialiste, même par Thierry Meyssan. Celui-ci évoque tout de même une piste israélienne dans les attentats antisémites d’Argentine des années 1990 (http://www.voltairenet.org/article141896.html, ce qui n’étonnera que ceux qui ignorent que les sionistes ont assassiné les juifs antisionistes depuis au moins 1924 avec le précédent de Jacob Israël de Haan, écrivain, tué de la main d’un jeune et sale ignard de militaire, Abraham Tehoni, sur ordre de Joseph Hecht - rien à voir avec Ben Hecht – connard galonné obéissant au bras droit de Ben Gourion, qui devaient tous prendre cet homosexuel amoureux des arabes pour un chien…). Meyssan donne aussi la parole à Jürgen Elsässer sur la façon dont le Mossad est à la source de la manipulation sur l’alerte terroriste de Londres d’août 2006 (http://www.voltairenet.org/article143087.html), les Israéliens prétendant se fonder sur des données informatiques retrouvées comme par enchantement dans des ordinateurs au Liban, ravagé par la Waffen IDF (et l’on voit dans cette affaire comment la chaîne de la désinformation peut aller d’Israël aux Etats-Unis et au Pakistan, puis d’Israël à Londres).

Eloignons-nous donc de la question de l’omniprésente question de la démolition des tours pour examiner d’autres tours du 11/9.

Ne nous a-t-on pas joué des tours ?

Avec le 11/9, tout le monde peut s’apercevoir des coïncidences qui pointent vers le pouvoir militaire ou civil usaméricain. Mais tout cela n’est-il qu’apparence ? En raison de la date choisie pour les attentats ? En ce premier ou ce deuxième jour d’exercices militaires variés, on peut comprendre que des militaires de haut rang n’aient pas été plus rapides à réagir, le temps de s’apercevoir qu’il ne s’agissait pas d’exercices de simulation de prise d’otages. On peut éventuellement comprendre qu’ils aient transmis le pouvoir à leurs subordonnées pour qu’ils se forment, comme au NMCC avec Mr. Winfield, ou à la FAA, dont une salle d’opération était vide, ou au NORAD, dont le chef Eberhart était éloigné de son bureau.

La concomitance des exercices n’est pas forcément un signe de complicité. Des agent étrangers bien infiltrés et avertis que l’exercice Vigilant Guardian se déroulerait sur deux jours, ont pu s’exercer, la première journée, à maîtriser les logiciels en vigueur de pilotage à distance, ou ont pu en installer de nouveaux dans des avions, et attendre le deuxième jour pour déclencher l’opération. Ils ont pu être aidés par des taupes à la DSIA, qui dirige tous les réseaux militaires, comme l’informatitien Amit Yoran, responsable de la gestion des situations d’urgence. Ce deuxième jour, tout paraîtrait à première vue aussi simulé que le premier jour. Y compris l’approche rapide d’un avion vers le Pentagone. Ces mêmes personnes, averties du plan à l’avance, auront eu le temps de préparer des fausses fuites de menace islamo-fascistes autour du 11 septembre, histoire d’accuser après coup la direction de la maison Blanche de négligence ou d’avoir protégé des initiés. Il faudrait connaître précisément qui a prévenu des dangers de prendre l’avion, la veille ou quelques semaines avant, des officiels du Pentagone, ainsi que John Ashcroft, Willie Brown, Salman Rushdie, etc.

La formation militaire des supposés pirates, ou leurs liens avec le traffic de drogue organisé par la CIA, n’ont-ils pas été choisis à l’avance par des gens qui les suivaient de près et étaient même en contact avec eux ? On sait d’après Hopicker cité par Jay Kolar que Atta avait bénéficié d’un programme d’échanges d’étudiants sponsorisé par Kissinger et Rockefeller via CDS International, qu’il était capable de parler hébreu, que sa copine avait vu une carte d’identité israélienne dans son sac. Des personnes mystérieuses auront-elles ensuite fait éliminer ces personnes, peut-être manipulées, au moment voulu ? Pensaient-elles qu’une fois les pilotes formés repartis dans leur pays, ils ne parleraient pas autant que s’ils étaient restés aux Etats-Unis ? A-t-on assassinné Atta sous prétexte de lutter contre un trafficant de drogue ? Pourquoi les espions israéliens tenaient-ils tant à fouiller dans les affaires des agents de la lutte anti-drogue (DEA) ? Si Daniel Hopsicker semble avoir levé un lièvre, n’est-il pas manipulé ? Ne laisse-t-il pas croire qu’Atta était bien le pirate et qu’il était capable de conduire une mission suicide puisque sa violence le portait à tuer des chats en petits morceaux (du moins c’est ce que prétend sa supposée amante – mal éconduite ? – Amanda Keller, qui paraît raconter ce bobard sans la moindre émotion) ?

Nous ne voulons pas dire qu’il n’y avait pas des traîtres ou de fieffés profiteurs en haut lieu capables de saboter la défense ou de faire détruire les tours, et surtout la troisième, par exemple pour l’or qui était entreposé en-dessous. Mais une petite faction relativement bien placée aurait pu aussi suffire. Cette faction aura ensuite protégé macchiavéliquement les criminels responsables de la sécurité des tours et des aéroports. Mais ces derniers n’avaient peut-être pas besoin de protection préalable. Il aura suffi de lever la garde et d’invoquer une négligence ou de failles inévitables. Comme avec le précédent de l’assassinat de Kennedy (regardez les membres de sa garde rapprochée lever les bras et tourner la tête, perplexes, lorsque responsable de la sécurité Emory Roberts se lève pour leur donner l’ordre de ne pas rester sur les marche-pieds de la voiture présidentielle, http://youtube.com/watch?v=T0WFGfEpES0&mode=related&search=, JFK assassination: Secret Service Standdown ; si ces hommes-boucliers étaient restés à proximité, le deuxième voire le troisième coup n’auraient pas eu le temps d’atteindre le président…). Lors des bombes au WTC en février 1993, un agent du FBI a aussi levé la surveillance d’un groupe terroriste, en annulant la mission d’un ex-officier égyptien infiltré, Emad Salem, consistant à mettre de la fausse poudre dans les explosifs. Emad fut ensuite dissuadé de rapporter ce fait à Washington par l’agent du FBI John Anticev. L’intéressant est qu’une autre agent, Nancy Floyd, ne conteste pas la version d’Emad, et n’est pas pas surprise que les agents de New York voulaient éviter de voir leurs "fesses machées". (http://www.whatreallyhappened.com/RANCHO/POLITICS/OK/wtcbomb.html "Tapes Depict Proposal to Thwart

Bomb Used in Trade Center Blast", By Ralph Blumenthal, NY Times, 28 octobre 1993). Il faut ajouter ici que Nancy Floyd enquêtait sur cette cellule et avait été bloquée par ses supérieurs. Par la suite, on l’empêcha de rentrer en contact avec Emad, et sa carrière en pris un sacré coup pendant dix ans (Un intéressant livre de Peter Lance sur ce que l’on peut qualifier au mieux de ratage à enterrer, en parle en 2003, 1000 Years For Revenge, International terrorism and the FBI, the untold story, http://dks.thing.net/Master_Planner.html, http://www.canoe.ca/CNEWS/World/WarOnTerrorism/1000Years/2003/10/29/240825.html, Wed, October 29, 2003).

Il est difficile de savoir qui peut être derrière ces ratages. Les chefs du FBI et du Secret Service ou des personnes qui agissent de leur plein gré au sein de ces services par allégeance à un pouvoir extérieur et provoquent des attentats par le biais de déséquilibrés.

Trois petits tours d’espionnage et puis s’en vont

L’étonnant, avec le 11-septembre, ce n’est pas que des agents israéliens ou de l’ADL ont pu être identifiés à l’intérieur du FBI, chose qui doit pourtant exister et que soupçonne quelqu’un comme Christopher Bollyn, mais c’est que ceux-ci ont été arrêtés pour comportement suspect autour de cette date et non loin des terroristes présumés.

Sur deux cents espions israéliens arrêtés autour du 11 septembre, sept suivaient douze pirates de près, et cinq ont été interrogés deux mois avant d’être relâchés pour avoir photographié, visiblement contents, les tours en feu (http://www.forward.com/issues/2002/02.03.15/news2.html, "Spy Rumors Fly on Gusts of Truth"). Un reportage de Fox News diffusé en décembre 2001 en quatre épisodes a soulevé la question de la prescience des services israéliens. Des enquêteurs se demandaient aussi si des sociétés israéliennes (Amdocs, Comverse Infosys, et on pourrait aussi ajouter CCS avec ses systèmes d’interception de communications) pouvaient informer les suspects des attaques du 11/9 de ce qu’ils étaient recherchés. Car, curieusement, ces suspects changeaient de mode de communication dès qu’ils étaient mis sur écoute… (http://www.informationclearinghouse.info/article7545.htm, http://www.informationclearinghouse.info/article6480.htm). On ignore hélas encore l’identité des suspects et comment ils furent prévenus…

Nous ne sommes pas suffisamment informés pour savoir si beaucoup de ces agents étaient mouillés dans l’affaire du 11-septembre. Informer trop de gens aurait nui à la discrétion de l’opération. Il y eut certes des fuites (Odigo, Zim Navigationnal?). Mais on compta tout de même un certain nombre de victimes israéliennes.

Tour d’horizon des victimes israéliennes du 11/9

Le 11/9 aussi des Israéliens sont morts, et, d’un point de vue statistique, ils ne semblent pas trop sous-représentés parmi les victimes des attentats. Sur cinq détenteurs de passeports israéliens (Alona Avraham, Leon Lebor, Shay Levinhar, Daniel Lewin, et Haggai Sheffi), dont quatre avec la double nationalité, deux étaient à bord des deux premiers avions : Daniel Lewin et Alona Avraham

(http://en.wikipedia.org/wiki/9/11_conspiracy_theories#Some_Jewish_employees_did_not_attend_work_at_the_WTC_on_9.2F11). Une estimation israélienne était qu’il aurait dû y avoir plus de cent Israéliens employés dans le World Trade Center (une déclaration que l’on doit, à chaud, à Tsviya Shimon, ministre des affaires administratives du consulat et de la mission israélienne à New York, en date du 14 septembre, voir http://usinfo.state.gov/is/Archive_Index/World_Trade_Center_Tragedy_Hits_All_Nationalities.html. Par comparaison les autorités des Philippinnes avaient estimé à cinq cents le nombre de leurs ressortissants travaillant au WTC (comme pour les Israéliens, les bâtiments où ils travaillaient, dans ce quartier d’affaires, ne sont pas précisés). Et au total, selon un article de septembre 2005, dix-huit philippo-américains sont décédés dans ces tours, plus trois dans les avions supposés disparus au Pentagone et en Pennsylvanie : (http://www.filipinoreporter.com/archive/3339/headline03.htm : les noms sont : Grace Alegre Cua, Carl Allen Peralta, Marlyn Bautista, Judy Hazel Fernandez, Maria Theresa Santillan, Jayceryll DeChavez, Hector Tamayo, Cynthia Betita Wilson, Frederick Kuo Jr., Manuel Lopez, Cecilia Caguicla, Rufino Conrado "Roy" Santos, Cesar Alviar, Hilario "Larry" Sumaya, Ramon Grijalvo, Arnold Lim, David Marc Sullins and Benilda Domingo. Et Ronald Gamboa, Ruben Ornedo and Manolito Kaur.)

Le ratio de morts israéliens ne semble donc pas anormalement bas. Mais on nous précise tout de même via wikipedia que selon Abraham Foxman lui-même, ce jour-là, beaucoup de juifs orthodoxes se rendirent une heure plus tard à leur travail le temps de réciter des prières de Selichot, quelques jours avant le nouvel an juif (http://www.jcpa.org/phas/phas-13.htm Jerusalem Center for Public Affairs, No. 13 1 October 2003 / 5 Tishrei 5764, The Resuscitation of Anti-Semitism: An American Perspective). On peut aussi signaler que si les attaques avaient eu lieu une semaine plus tard, en plein Roch Achanah, il y aurait eu beaucoup plus de juifs morts dans les avions.

Mais il y en eut. Certains voient d’ailleurs une curieuse coïncidence dans le fait que deux Israéliens se trouvaient dans les deux premiers avions. Pourtant, Daniel Lewin (certes ancien officier de contre-terrorisme mais multi-millionnaire marié ayant deux enfants) et Alona Avraham (une israélienne d’origine indienne, ingénieur industriel à Rechovot pour Applied Materials, qui aimait voyager et allait voir un cousin aux States comme touriste pour trois semaines, http://www.thejewishweek.com/bottom/specialcontent.php3?artid=365&print=yes) n’ont pas vraiment un profil de kamikazes ni même de casse-coux. Etaient-ils des informateurs ? Si c’est le cas ils ont été mal informés. En fait, peu de gens devaient être informés de ce qui se tramait. L’opération du 11/9 fut d’ailleurs discrète au point que l’on n’a toujours pas vu les vidéos des passagers dans l’aéroport de Boston – ni de Newark.

Le tour d’Ezra.

Les vidéos ont-elles été confisquées par la compagnie israélienne ICTS dirigée par Ezra Harel (dont le nom est le même que le prétendu père du Mossad, Isser Harel) et Menachem Atzmon (un proche comparse d’Ehud Olmert) ? Curieusement, Mr. Harel, présenté comme un homme d’affaires newyorkais de 53 ans d’origine israélienne est mort le 25 novembre 2003 d’une attaque cardiaque. C’était pour lui le deuxième jour d’une course de yachts entre Lanzarotte et Antigua, soit entre les Canaries et la Guadeloupe. La survenue du mal eut lieu le soir et il fallut attendre le lendemain matin pour que le bateau, le Lalena V x-562, parvienne à une distance suffisante de l’hélicoptère de secours. Mais les soigneurs n’arrivèrent que pour constater le décès (http://www.ybw.com/auto/newsdesk/20031109165229ywnews.html, http://www.yacht.de/yo/yo_news/powerslave,id,2425,nodeid,33.html – le skipper était alors Yannis Kontaxopoulos, ingénieur en aéronautique, et le nouveau propriétaire est le chirurgien israélien Motti Beyar).

Atta et ses curieux tours de langage

Curieusement, on prêt à l’égyptien Mohammed Atta une voix (audible sur http://www.washingtonpost.com/wp-srv/mmedia/nation/061704-12s.htm, ou http://www.prisonplanet.tv/articles/june2004/061804voiceofatta.htm) qui ressemble à s’y méprendre à celle, par exemple de l’israélien d’origne allemande Uri Avnery – de son vrai nom Helmut Ostermann –, plutôt qu’à celle d’un égyptien parlant anglais (à écouter ces acteurs égyptiens du film Halim : http://www.dailymotion.com/relevance/search/halim%20egypt/1).

Certes Mr. Atta aurait été capable de parler hébreu, selon le témoignage sa compagne Amanda Keller qui aurait vu tomber de son sac une carte d’identité israélienne (http://www.democraticunderground.com/discuss/duboard.php?az=view_all&address=104x1433886). Mais quand même pas au point d’avoir un accent israélien après avoir vécu vingt-cinq ans en Egypte. Etait-elle en fait amie avec son double du Mossad, capable, lui, de parler anglais, arabe, allemand et français ? Ruddi Dekkers, l’instructeur d’un dénommé Atta affirme qu’Atta ne pouvait pas parler allemand… Alors que sa supposée amie, Amanda Keller, insiste sur le nombre élevé d’amis allemands qui s’entraînaient avec lui à l’école d’aviation. Bizarrement, Rudi Dekkers est mort dans un accident d’hélicoptère... A-t-on voulu le faire taire ? Le double d’Atta n’allait-il finalement pas aux cours de pilotage sous le nom d’Atta ?

Mais tâchons de connaître qui a pu prononcer la phrase. Son double du mossad est-il monté à bord du vol AA 11 sous l’identité d’Atta ? Tant le phrasé chanté du son "ou" ressemble étonnamment aux mots israéliens shalom (paix ou bonjour) ou Sharon. Le mot "airport" est, lui, prononcé exactement comme le fait Ehud Barak le 11 septembre, les R finaux étant proches du son W (Ecoutez Ehud à la minute 1’35, http://youtube.com/watch?v=hqagPn5YrEc). Or un égyptien roule clairement les R, et ajoute des "e" en fin de mots, ce qui n’est pas le cas dans le mot "airport" prononcé dans l’enregistrement.

En prenant en compte l’éducation allemande d’Atta, de 25 à 31 ans, on pourrait penser à la rigueur qu’il a adopté la façon allemande de prononcer les R. Néanmoins, les "Ou" restent typiquement israéliens ou juifs européens.

Les intonations de voix répétées ne sont pas accidentelles ou liées à une inquiétude qui transparaît de moins en moins au fil de l’enregistrement – c’est au tout début qu’une panique est perceptible, lorsque la personne prononce "planes" au lieu de "plans".

L’auteur des phrases est donc plus probablement un israélien qui aurait gardé la façon de prononcer les R de ses parents d’origine allemande-américaine au milieu d’autres ashkénazes, en Israël.

La voix entendue ne nous paraît donc en aucun cas celle d’un égyptien désigné sous le nom de Mohammed Atta.

On peut donc penser à quatre solutions, que l’on tentera de démonter une à une, sans aller plus loin.

1) Il s’agit du pilote John Ogonowski ayant à faire face à un détournement électronique. Curieusement, la tante de ce dernier, Rose Panek, ne pourra pas témoigner car elle a disparu dans un tragique autant que mystérieux accident de voiture quelques jours avant la diffusion publique de l’enregistrement. Si c’est la voix d’Ogonowski, l’explication selon laquelle la voix a été gardée parce que la personne aux commandes aurait effectué une erreur en appuyant sur la radio plutôt que le microphone de la cabine est fausse. Un pilote n’aurait pas commis cette erreur à plusieurs reprises.

2) La voix a été envoyée par radio d’un autre avion ou du sol et il s’agissait de la voix des détourneurs voulant faire croire à une opération coordonnée par des pirates, d’où l’expression "we have some planes". Mais dans ce cas, pourquoi ne pas avoir imité un accent arabe ? Parce qu’on ne pensait pas que la voix serait enregistrée ???

3) Autre possibilité : il s’agissait d’une phrase prononcée dans le cadre d’un exercice militaire. Mais n’aurait-on pas fini par le savoir ? Pourquoi la commission officielle s’est-elle tant accrochée à cette phrase si peu solide ?

4) Dernière possibilité : il s’agissait de la voix d’un passager (Daniel Lewin ou un autre israélien à l’accent yiddish et maîtrisant bien l’anglais, peut-être le double d’Atta) qui, soit a tué le pilote, soit était chargé de le maîtriser pour que ce dernier n’empêche pas le déroulement du pilotage à distance, soit encore serait venu lui porter secours en raison de problèmes électroniques ou d’un empoisonnement. Il est possible que cette voix ait été conservée grâce à l’enregistreur du cockpit, donc d’une des boîtes noires qui, nous dit-on, n’a pas été conservée – ce que démentent pourtant des pompiers et un employé du NTSB (lire Dave Lindorff). L’enregistreur gardant en mémoire la dernière 1/2 heure de vol, cela s’accorde avec le fait que le détournement a commencé à 8h29 ou 8h20 environ (détour au Nord) avant le crash à 8h46. La seule façon d’infirmer cette hypothèse serait de divulguer les données des boîtes noires…

On le voit, il est encore difficile de parler d’une opération d’Israéliens menée dans le but de rallier encore plus les Américains à leur cause et de les entraîner dans de nouveaux plans guerriers. Toutefois, les investigations en ce sens devraient absolument être prolongées.

Experts, ne tournez-vous pas autour du pot ?

1) http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_article=3788

Jürgen Elsässer : « La CIA a recruté et formé les djihadistes », par Silvia Cattori.

Silvia Cattori : Vous ne voyez pas non plus de lien entre les services secrets israéliens et les attentats du 11 septembre 2001 ?

Jürgen Elsässer : Il y a des liens, mais je n’ai pas analysé le caractère de ces liens. Par exemple, immédiatement après le 11 septembre, un certain nombre d’agents israéliens ont été arrêtés aux États-Unis. Ils étaient présents sur les lieux où se préparaient les attentats. Il y a des analystes qui disent que c’est là une preuve qu’Israël était directement impliqué dans ces attentats (http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_article=3278). Mais cela pourrait également signifier autre chose. Il se pourrait que ces agents observaient ce qui se passait, qu’ils étaient au courant que les services secrets américains soutenaient ces « terroristes » dans la préparation de ces attentats, mais qu’ils garderaient leur savoir pour s’en servir au moment opportun, et pouvoir exercer un chantage le moment venu : « Si vous ne soutenez pas davantage Israël, nous allons livrer ces informations aux médias ». Il y a même une troisième possibilité, à savoir que ces espions israéliens voulaient prévenir les attaques mais ont échoué. En ce moment, nous savons seulement que ces types étaient sur place et qu’ils ont été arrêtés. Des investigations supplémentaires sont nécessaires.

[Or les Israéliens n’ont pas rapporté ni empêché les actions de tous ces gens suspects. Il n’existe que deux ou trois cas où les agents du FBI se doutaient de quelque chose et ont demandé des enquêtes. Les Israéliens ont-ils livré après coup aux médias certaines coïncidences ? N’ont ils pas pu, aussi, s’arranger à l’avance pour mieux piéger les Bush : en détruisant à distance un avion décollant de Washington, où officiait une société de sécurité liée aux Bush, en planquant des bombes dans les Tours dont une société de sécurité était liée aux Bush, ou en choisissant le moment où se déroulaient de vastes exercices militaires ? Ce qu’il faudrait en cas d'accusations mutuelles, c’est décrypter qui aurait commencé à accuser l’autre. Pour le moment, il est impossible de savoir si des informations émanent des services étatiques. Seule une ancienne agent du Mossad a parlé de ces événements et a accusé les Russes. La population semble laissée à elle-même. Et si l’intérieur du système américain a été l’objet des suspicions les plus fines – qui pointent pour le moment vers une grave incompétence de membres de la FAA, ou du NMCC, malheureusement dirigé par un rookie se matin là, tandis que le Norad et le Secret Service ont été informés eux à temps des problèmes avec le dernier avion (à lire David Griffin, Omissions…, pp.257-261) – l’intérieur du réseau israélien ne l’a pas vraiment été. Les patriotes américains n’ont pas encore sérieusement riposté en déclassifiant des données précises sur le réseau israélien, pour peu qu’ils y aient accès et qu’ils aient quelque chose à livrer.]

2) Dans Crossing the Rubicon, Michael Ruppert rend compte d’un mémorandum portant sur le réseau des étudiants espions israéliens. Il nous informe aussi de la mort de deux journalistes de télévision qui ont traité ou laissé traiter de la question, et nous fait part de son interprétation:

p.264 : "Le réseau avait de très importantes opérations dans certains zones connectées avec le 11/9, notamment autour d’Hollywood, en Floride, où Mohammed Atta et d’autres pirates vivaoent et s’entraînaient, san Diego, où Alhazmi et Almidhar vivaoent; et Phoenix, en Arizona. En fait, il fut confirmé plus tard qu’une partie de ces agents vivaient pratiquement au voisinage de la boîte postale d’Atta en Floride et le surveillaient depuis un certain moment. Certains de ces agents étaient entrés aux Etats-Unis depuis francfort, en Allemagne, où Atta vivait aussi et aurait planifié les attaques.

(…) Un domaine où le crime organisé israélien a excellé, cependant, est dans le contrôle du plus gros traffic de la drogue MDMA (Ecstasy). Et les interractions entre les agences de renseignement et le crime organisé sont bien documentées. (…) Tous les membres du réseau des étudiants en art n’étaient pas au courant des opérations profondes consistant à traquer les pirates du 11/9, et ce pour de bonnes raisons. Et le fait que des membres du renseignement israélien ont en fait informé les autorités US de l’opération [mais pas de la leur à lire Forward] pourrait bien avoir été une façon claire de se dédouaner que le réseau était ici et actif [might well have been a

plausibly deniable heads-up to US intelligence that the ring was here and on the move, y a-t-il des traducteurs dans la blogosphère ?]."

p.265 : "Cependant, à un niveau plus profond, cette histoire révèle que les services de renseignement israéliens opéraient en simple complices du gouvernemnet US pour s’assurer que certaines des attaques seraient couronnées de succès, et que, si le besoin s’en faisait sentir, d’autres attaques seraient en mesure d’être empêchées. Des agents israéliens compromis dans l’opération n’auraient pas conduit directement au gouvernemnet US, et les missions ultra-sensibles sont souvent sous-traitées entre gouvernements. Comme l’histoire nous l’enseigne, Israël a énormément bénéficié des attaques, usant de la vague d’émotion pour consolider brutalement ses positions – souvent au point d’embarasser les Etats-Unis. Et, quand deux peuples sont coupables de meurtre, on peut généralement compter sur eux pour qu’ils se taisent. Un aspect secondaire et intéressant du scandale d’espionnage des étudiants en art est le fait qu’après avoir reçu le rapport du DEA et l’avoir authentifié, Madsen écrivit un texte pour la newsletter d’Intelligence Online publiée par Guillaume Dasquié, l’auteur de La vérité interdite. De là , l’histoire fut reprise par Le Monde et recyclée en une histoire qui suscita un intérêt international. Mais au début du mois de mars, Maden montra aussi le rapport du DEA au eporter d’actualité télé Dale Solly de la chaîne WJLA affiliée à ABC. Le 5 mars, en une du journal de 17 heures, Solly diffusa via les ondes une interview avec Madsen. Solly y demandait : "" Mais qu’ont-ils bien pu apprendre ? Au pire, dit Madsen". Solly continua : "Ils connaissaient à l’avance les attaques et soit ils n’ont pas tout dit de ce qu’ils savaient aux renseignements US, soit ils furent ignorés s’ils le firent… Plus tard dans la journée, le FBI et le DEA confirmèrent les arrestations. Le journal français Le Monde appela cela la plus grosse affaire d’espionnage de ce pays depuis l’affaire Jonathan Pollard en 1986"22

Solly, qui avait alors 53 ans, ne fumait pas et se consacrait souvent au footing, décéda d’un accident cardidaque le 27 avril. Des sources anonymes qui le connaissaient affirmèrent qu’il fallut attendre un temps considérable avant d’obtenir de la morgue une attestation sur la cause naturelle du décès". Ce qui est plus difficile à écarter est le fait que l’un des directeurs de l’information de WJLA, Phil Smith, décéda aussi d’un arrêt cardiaque dans les trois semaines qui suivirent la mort de Solly"23.

Avant de comprendre les raisons profondes pour lesquelles Dick Cheney aurait voulu rendre toute cette affaire publique, il est nécessaire d’examiner le rôle d’Israël dans le monde politique Américain".

Bizarrement, la page 637, qui comporte les notes de bas de page à ce chapitre reste blanche dans la version électronique. Les lois de Murphy sans doute…

Amis lecteurs, nos routes se séparent sur ce questionnement ! A vous de le prolonger en toute honnêteté et en toute abnégation ! La méthode a été tracée : liberté d’esprit, critique systématique, recoupement et contre-examen. Les grandes lignes sont connues. Mais les interlignes mériteraient plus d’attention.

Suivez peut-être http://journalof911studies.com. La barre est mise assez haut.

Il n’y a pas que la skyline de New York dans la vie. Il y a d’autres paysages à tomber par terre. Et certains sujets de discussion, plus acceptables pour nos proches (gastronomie, vie des têtes couronnées, exploration spatiale, sport, vie majestueuse des gorilles et sens de l’humour des bonobos, etc.), sont tout aussi épatants et hilarants. Mais souvent, on n’est pas plus avancé que dans le 11-9. Il faudra un peu de temps avant de connaître :

- le secret d’un bon gâteau au pavot juif polonais;

- les images originales égarées de la mission Apollo 11 sur la Lune, même pas vues par les dirigeants de la NASA ! L’Agence espère les retrouver dans six mois… N’aurait-on pas volontairement perdu des images de bases exra-terrestres dans les labyrinthes des archives nationales, que l’on sait très compartimentées, ou dans les archives spatiales Goddard de Greenbelt (pas classées dans les NARA) ? Faire détruire des images ou d’autres documents n’est en effet pas la meilleure façon pour les enterrer, il faut un ordre, et quelqu’un décide alors d’en faire des copies … ;

- la vie privée et religieuse cachée de Lady Diana selon Paris-Match ou cet inconscient de Joe Vialls (en réalité Ben-Menaché?);

- les sources mystérieuses de la série Lone Gunmen finalement sortie en DVD en 2005 chez www.foxfrance.com et dont l’épisode pilote, "PILOTE FANTOME", diffusé sept mois avant le 11-septembre, constitue un appréciable objet de collection pour les sceptiques. On y voit déployé un plan diabolique : le détournement électronique d’avion de ligne, depuis le sol et par un membre du gouvernement, direction le WTC. Le but ? Relancer les dépenses militaires contre les dictateurs qui revendiqueraient immanquablement l’acte. La documentaliste, Katrina Cabrera (Ortega), ne paraît pas de mèche avec un quelconque pouvoir.

Autre œuvre de fiction réaliste : "Panic" (ou Air Panic), de Bob Misiorowski, écrit par Boaz Davidson (né à Tel Aviv en 1943, http://www.imdb.com/name/nm0203246), et mis en scène par Jace Anderson, et Adam Gierasch, tourné au printemps 2001. Il y est question de la disparition catastrophique de plusieurs avions ayant pour point commun de fonctionner avec un logiciel de navigation identique, hacké à distance par un cinglé floué par l’industrie de l’aviation et désirant se venger (http://www.imdb.com/title/tt0277944/plotsummary).

Curieusement, ce genre de scénarios a disparu depuis le 11 septembre…

- les origines inconnues du coup de boule réussi de Zidane et du penalty raté de Trézeguet selon l’Equipe. N’est-il pas comique de voir les conséquences durables de la défaite des Français au Mondial sur la croyance en la magie du football des beurs et des ritals de troisième génération du bar PMU de Clichy … jeunes désillusionnés sur le point de se révolter contre le loto sportif et les magouilles capitalistes ? A côté, le traitement du 11-Septembre ou de ses conséquences cinq ans après par le Monde diplomatique norvégien ou français nous fait franchement baîller et n’ouvre aucune perspective nouvelle.


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